Affaires d'honneur. La prise de pouvoir par les fascistes français en huit jours de mai 1940

Par : Pierre Grenet
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  • Nombre de pages196
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-35061-090-0
  • EAN9782350610900
  • Date de parution14/07/2021
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurLe Publieur

Résumé

Ce récit de la campagne de France, en mai-juin 1940, d'un jeune commandant à la tête d'escadrilles de Breguet 693 attaquant en vol rasant les colonnes de panzers déferlant sur la Belgique et les Ardennes mène à une enquête sur les officiers supérieurs français qui auraient donné à la Wermacht les clés de Sedan. L'enquête de l'auteur, et c'est une révélation, établit que le bombardement du pont de bateaux sur lequel sont passés les 1000 chars de Guderian et Rommel a sciemment été empêché par une prétendue offensive du général Huntzinger. Dans la revue Esprit, en 1938, Emmanuel Mounier qualifia de « trahison française » les accords de Munich abandonnant la Tchécoslovaquie à la merci des assauts du IIIème Reich et mettait en garde l'opinion sur les risques de trahison sur le sol de France : « On ne comprendra rien au comportement de cette fraction de la bourgeoisie française si on ne l'entend murmurer à mi-voix : "Plutôt Hitler que Blum" ». Basé sur des faits établis dans les archives militaires et de nombreux documents, 80 ans après « l'étrange défaite » dénoncée par Marc Bloch, le grand historien, martyr de la résistance, ce texte où l'on croise Kessel, Casamayor et Saint Exupéry met en lumière des pans d'histoire restés dans une ombre bien gardée.
Ce récit de la campagne de France, en mai-juin 1940, d'un jeune commandant à la tête d'escadrilles de Breguet 693 attaquant en vol rasant les colonnes de panzers déferlant sur la Belgique et les Ardennes mène à une enquête sur les officiers supérieurs français qui auraient donné à la Wermacht les clés de Sedan. L'enquête de l'auteur, et c'est une révélation, établit que le bombardement du pont de bateaux sur lequel sont passés les 1000 chars de Guderian et Rommel a sciemment été empêché par une prétendue offensive du général Huntzinger. Dans la revue Esprit, en 1938, Emmanuel Mounier qualifia de « trahison française » les accords de Munich abandonnant la Tchécoslovaquie à la merci des assauts du IIIème Reich et mettait en garde l'opinion sur les risques de trahison sur le sol de France : « On ne comprendra rien au comportement de cette fraction de la bourgeoisie française si on ne l'entend murmurer à mi-voix : "Plutôt Hitler que Blum" ». Basé sur des faits établis dans les archives militaires et de nombreux documents, 80 ans après « l'étrange défaite » dénoncée par Marc Bloch, le grand historien, martyr de la résistance, ce texte où l'on croise Kessel, Casamayor et Saint Exupéry met en lumière des pans d'histoire restés dans une ombre bien gardée.