Acadie multipiste, tome 4. Voix contemporaines
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- FormatePub
- ISBN978-2-89691-462-3
- EAN9782896914623
- Date de parution26/09/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions Perce-Neige
Résumé
Ce quatrième et dernier tome de la série Acadie multipiste s'intéresse aux Voix contemporaines, qu'elles soient émergentes ou qu'elles occupent le paysage littéraire acadien depuis de nombreuses années. Robert Viau analyse ainsi les oeuvres de plusieurs primo-poètes comme Shayne Michaels, Joanie Duguay, Joanie Serré ou Luc-Antoine Chiasson, tout en s'intéressant à des artistes bien connus du milieu, dont Jacques Savoie, Emma Haché ou Jonathan Roy.
Surtout, c'est dans ce livre que Robert Viau annonce qu'il tire sa révérence.
Dans un Adieu à l'Acadie à la fois émouvant et critique, il établit son testament littéraire et livre une réflexion surprenante sur l'évolution de l'enseignement à l'université, sur la place qu'occupe le français dans la scolarité au Nouveau-Brunswick, ainsi que sur le rôle de l'université elle-même dans notre société. À quoi correspond le concept de réussite scolaire ? L'enseignement de la littérature est-il « utile » dans un monde où l'utilité rime souvent avec la rentabilité ? Les universités doivent-elles demeurer des lieux de savoirs, ou doivent-elles s'adapter davantage au marché du travail ? Quelle place occupent les étudiants et les étudiantes dans ce système ? Derrière toutes ces questions, un constat : « L'Acadie s'affirme et existe grâce à la création littéraire.
» Il n'en tient qu'au peuple acadien de veiller à ce qu'elle demeure vivante.
Dans un Adieu à l'Acadie à la fois émouvant et critique, il établit son testament littéraire et livre une réflexion surprenante sur l'évolution de l'enseignement à l'université, sur la place qu'occupe le français dans la scolarité au Nouveau-Brunswick, ainsi que sur le rôle de l'université elle-même dans notre société. À quoi correspond le concept de réussite scolaire ? L'enseignement de la littérature est-il « utile » dans un monde où l'utilité rime souvent avec la rentabilité ? Les universités doivent-elles demeurer des lieux de savoirs, ou doivent-elles s'adapter davantage au marché du travail ? Quelle place occupent les étudiants et les étudiantes dans ce système ? Derrière toutes ces questions, un constat : « L'Acadie s'affirme et existe grâce à la création littéraire.
» Il n'en tient qu'au peuple acadien de veiller à ce qu'elle demeure vivante.
Ce quatrième et dernier tome de la série Acadie multipiste s'intéresse aux Voix contemporaines, qu'elles soient émergentes ou qu'elles occupent le paysage littéraire acadien depuis de nombreuses années. Robert Viau analyse ainsi les oeuvres de plusieurs primo-poètes comme Shayne Michaels, Joanie Duguay, Joanie Serré ou Luc-Antoine Chiasson, tout en s'intéressant à des artistes bien connus du milieu, dont Jacques Savoie, Emma Haché ou Jonathan Roy.
Surtout, c'est dans ce livre que Robert Viau annonce qu'il tire sa révérence.
Dans un Adieu à l'Acadie à la fois émouvant et critique, il établit son testament littéraire et livre une réflexion surprenante sur l'évolution de l'enseignement à l'université, sur la place qu'occupe le français dans la scolarité au Nouveau-Brunswick, ainsi que sur le rôle de l'université elle-même dans notre société. À quoi correspond le concept de réussite scolaire ? L'enseignement de la littérature est-il « utile » dans un monde où l'utilité rime souvent avec la rentabilité ? Les universités doivent-elles demeurer des lieux de savoirs, ou doivent-elles s'adapter davantage au marché du travail ? Quelle place occupent les étudiants et les étudiantes dans ce système ? Derrière toutes ces questions, un constat : « L'Acadie s'affirme et existe grâce à la création littéraire.
» Il n'en tient qu'au peuple acadien de veiller à ce qu'elle demeure vivante.
Dans un Adieu à l'Acadie à la fois émouvant et critique, il établit son testament littéraire et livre une réflexion surprenante sur l'évolution de l'enseignement à l'université, sur la place qu'occupe le français dans la scolarité au Nouveau-Brunswick, ainsi que sur le rôle de l'université elle-même dans notre société. À quoi correspond le concept de réussite scolaire ? L'enseignement de la littérature est-il « utile » dans un monde où l'utilité rime souvent avec la rentabilité ? Les universités doivent-elles demeurer des lieux de savoirs, ou doivent-elles s'adapter davantage au marché du travail ? Quelle place occupent les étudiants et les étudiantes dans ce système ? Derrière toutes ces questions, un constat : « L'Acadie s'affirme et existe grâce à la création littéraire.
» Il n'en tient qu'au peuple acadien de veiller à ce qu'elle demeure vivante.