Abyssal cabaret. ""La femme dont nous racontons l'histoire sait bien que le théâtre s'effondre...""

Par : Maryse Hache
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  • Nombre de pages42
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-8145-0531-5
  • EAN9782814505315
  • Date de parution04/11/2011
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant MP3 sans p...
  • ÉditeurPublie.net

Résumé

Abyssal cabaret, c'est une voix qui s'élève sur scène, elle dit que le théâtre s'effondreet que sur les charniers poussent des fleurs. L'actrice sait qu'il n'y a « rien à faire sur le théâtre qu'à vivre l'instant », son maquillage coule sous le masque, elle actionne des tiges qui renvoient la lumière, côtécabaret. Côtéabyssal, il y a de la glycine qui s'enroule, des remparts, des saisons, les mères de nos mères et les plaines des Ardennes.  Objet biface, le texte d'Abyssal cabaret mène une double vie. Mis en espace par la comédienne et metteur en scène Caroline Lemignard à plusieurs reprises, chacune différente, car travaillée à corps dans sa matière même, et dans la résonnance lumineuse d'un duo sur plateau avec Elisa Bernos, éclairagiste (la part que toutes deux improvisent en font un spectacle unique et recommencé).
Mis en bouche avec ce que l'on suppose des voix derrière la voix, figures convoquées extraites du sol. Des retrouvailles plus qu'un hommage, car pas d'apitoiement pesant mais des phrases lancées en appels.   Ce texte sur Publie.net entame une autre vie, une autre entrée offerte, lente, intime, dans l'écriture de Maryse Hache. Dans sa façon de s'approcher des fleurs et de ceux qui se tiennent sous terre, intensément.
Sa façon légère d'être grave, d'hurler au loup dans la montagne violette, de taper du pied, de lancer un cercle et des écureuils. Il le faut bien pour accueillir une marchande de couleurs tuée par la mort. L'Abyssal cabaret et ses couches successives, il y a tant d'insondable, on s'en approche, sans s'écarter du sol (le cabaret est là pour retenir), un équilibre si fragile, élégant, charnel, beau, tellement humain.
C'est Maryse Hache à lire et écouter, et ceux et celles qui l'accompagnent, les fantômes avec les vivants. « tu sais bien que costumes sont accoutrements que bouches crachent supplices plutôt que chansons et pourtant tu chantes » Christine Jeanney (Lien -> http://www.christinejeanney.fr/#PARUTIONS. A)
Abyssal cabaret, c'est une voix qui s'élève sur scène, elle dit que le théâtre s'effondreet que sur les charniers poussent des fleurs. L'actrice sait qu'il n'y a « rien à faire sur le théâtre qu'à vivre l'instant », son maquillage coule sous le masque, elle actionne des tiges qui renvoient la lumière, côtécabaret. Côtéabyssal, il y a de la glycine qui s'enroule, des remparts, des saisons, les mères de nos mères et les plaines des Ardennes.  Objet biface, le texte d'Abyssal cabaret mène une double vie. Mis en espace par la comédienne et metteur en scène Caroline Lemignard à plusieurs reprises, chacune différente, car travaillée à corps dans sa matière même, et dans la résonnance lumineuse d'un duo sur plateau avec Elisa Bernos, éclairagiste (la part que toutes deux improvisent en font un spectacle unique et recommencé).
Mis en bouche avec ce que l'on suppose des voix derrière la voix, figures convoquées extraites du sol. Des retrouvailles plus qu'un hommage, car pas d'apitoiement pesant mais des phrases lancées en appels.   Ce texte sur Publie.net entame une autre vie, une autre entrée offerte, lente, intime, dans l'écriture de Maryse Hache. Dans sa façon de s'approcher des fleurs et de ceux qui se tiennent sous terre, intensément.
Sa façon légère d'être grave, d'hurler au loup dans la montagne violette, de taper du pied, de lancer un cercle et des écureuils. Il le faut bien pour accueillir une marchande de couleurs tuée par la mort. L'Abyssal cabaret et ses couches successives, il y a tant d'insondable, on s'en approche, sans s'écarter du sol (le cabaret est là pour retenir), un équilibre si fragile, élégant, charnel, beau, tellement humain.
C'est Maryse Hache à lire et écouter, et ceux et celles qui l'accompagnent, les fantômes avec les vivants. « tu sais bien que costumes sont accoutrements que bouches crachent supplices plutôt que chansons et pourtant tu chantes » Christine Jeanney (Lien -> http://www.christinejeanney.fr/#PARUTIONS. A)
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