Une sombre histoire sur le fétichisme avec des chaussures de luxe hautes de 12 cm. Des acheteuses quasi compulsives, des amateurs masculins pour l’effet qu’elles leur procurent portées sur de jolies femmes, ou non…
Un livre à ne pas lâcher tant il faut rester dans le fil pour ne pas le perdre. Les pistes sont multiples, les personnages aussi. On se promène aujourd’hui, on repart 12 ans plus tôt. Autant de motifs pour semer le trouble. Mais c’est sûrement ce qui fait la force de l’ouvrage, il faut absolument rester concentrer.
On vit l’histoire de différents points de vue.
A travers les yeux du policier, des femmes traquées, des suspects potentiels…
C’est surtout dans la dernière partie que toutes les pièces du puzzle s’installent, que le schéma se compose vraiment. Si j’ai eu du mal au début à cause de toutes ces pistes et peut-être de la lenteur, l’enquête piétine énormément, je n’ai pas pu lâcher l’ouvrage dans les 100 dernières pages avant d’avoir toutes les explications. Alors, cette lenteur qui m’a dérangée joue sûrement un rôle dans la montée en puissance de l’histoire mais ça décolle vraiment tard.
Par contre, je ne me suis pas attachée au policier Roy Grace, peut-être était-il présent dans les précédents opus auquel cas il me manque des infos sur la disparition de sa femme dont il est souvent question et sur les suites que cela pourrait avoir dans de prochains ouvrages. Je ne lui ai pas trouvé de côté attachant.
Mais il faut convenir que Peter James a su nous mener en bateau, avec toutes ces fausses pistes, ces parts d’ombre dans la vie des suspects, ces non-dits, ces mauvaises interprétations. Le final, quant à lui, est parfaitement maitrisé et réussi.
Merci à Entrée Livre et ses « jeudis critiques »
Un sombre histoire de fétichisme
Une sombre histoire sur le fétichisme avec des chaussures de luxe hautes de 12 cm. Des acheteuses quasi compulsives, des amateurs masculins pour l’effet qu’elles leur procurent portées sur de jolies femmes, ou non…
Un livre à ne pas lâcher tant il faut rester dans le fil pour ne pas le perdre. Les pistes sont multiples, les personnages aussi. On se promène aujourd’hui, on repart 12 ans plus tôt. Autant de motifs pour semer le trouble. Mais c’est sûrement ce qui fait la force de l’ouvrage, il faut absolument rester concentrer.
On vit l’histoire de différents points de vue. A travers les yeux du policier, des femmes traquées, des suspects potentiels…
C’est surtout dans la dernière partie que toutes les pièces du puzzle s’installent, que le schéma se compose vraiment. Si j’ai eu du mal au début à cause de toutes ces pistes et peut-être de la lenteur, l’enquête piétine énormément, je n’ai pas pu lâcher l’ouvrage dans les 100 dernières pages avant d’avoir toutes les explications. Alors, cette lenteur qui m’a dérangée joue sûrement un rôle dans la montée en puissance de l’histoire mais ça décolle vraiment tard.
Par contre, je ne me suis pas attachée au policier Roy Grace, peut-être était-il présent dans les précédents opus auquel cas il me manque des infos sur la disparition de sa femme dont il est souvent question et sur les suites que cela pourrait avoir dans de prochains ouvrages. Je ne lui ai pas trouvé de côté attachant.
Mais il faut convenir que Peter James a su nous mener en bateau, avec toutes ces fausses pistes, ces parts d’ombre dans la vie des suspects, ces non-dits, ces mauvaises interprétations. Le final, quant à lui, est parfaitement maitrisé et réussi.
Merci à Entrée Livre et ses « jeudis critiques »