A cinq heures, nous serons tous morts !. Sur la barricade Saint-Merry, 5-6 juin 1832
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- Nombre de pages224
- FormatePub
- ISBN978-2-36358-159-4
- EAN9782363581594
- Date de parution28/03/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurVendémiaire
- Commentateur (texte)Thomas Bouchet
Résumé
« Du pain !... Regarde ces deux pièces de canon qui sont là-bas, elles nous apprêtent notre dernier repas.. il est quatre heures.. Dans une heure nous serons tous morts !!... » Ainsi harangue ses hommes, Charles Jeanne, le chef de la barricade Saint-Merry lors de l'insurrection parisienne des 5 et 6 juin 1832.
Retrouvé par hasard en 2010, ce document exceptionnel et inédit raconte heure par heure la vie des combattants face aux assauts de l'armée et de la garde nationale lors du soulèvement contre Louis-Philippe.
Jeanne nous révèle de l'intérieur un monde à part, celui d'une barricade. Il nous rend témoins de sa construction et de son entretien. On y croise des dizaines d'insurgés, des soldats et quelques espions. Des balles sifflent à nos oreilles. On assiste à la chute des pots de fleurs sur les soldats, on entend la voix des insurgés, on voit leur peur et leur courage. On découvre le terrifiant jeu de « pile-face » pratiqués par les vainqueurs sur les insurgés désarmés... Un récit si haut en couleur que Jeanne sera une des sources d'inspiration d'Hugo pour écrire les Misérables.
Ainsi le jeune garçon aux cheveux roux décrit par Jeanne a très probablement servi de modèle à Gavroche...
Jeanne nous révèle de l'intérieur un monde à part, celui d'une barricade. Il nous rend témoins de sa construction et de son entretien. On y croise des dizaines d'insurgés, des soldats et quelques espions. Des balles sifflent à nos oreilles. On assiste à la chute des pots de fleurs sur les soldats, on entend la voix des insurgés, on voit leur peur et leur courage. On découvre le terrifiant jeu de « pile-face » pratiqués par les vainqueurs sur les insurgés désarmés... Un récit si haut en couleur que Jeanne sera une des sources d'inspiration d'Hugo pour écrire les Misérables.
Ainsi le jeune garçon aux cheveux roux décrit par Jeanne a très probablement servi de modèle à Gavroche...
« Du pain !... Regarde ces deux pièces de canon qui sont là-bas, elles nous apprêtent notre dernier repas.. il est quatre heures.. Dans une heure nous serons tous morts !!... » Ainsi harangue ses hommes, Charles Jeanne, le chef de la barricade Saint-Merry lors de l'insurrection parisienne des 5 et 6 juin 1832.
Retrouvé par hasard en 2010, ce document exceptionnel et inédit raconte heure par heure la vie des combattants face aux assauts de l'armée et de la garde nationale lors du soulèvement contre Louis-Philippe.
Jeanne nous révèle de l'intérieur un monde à part, celui d'une barricade. Il nous rend témoins de sa construction et de son entretien. On y croise des dizaines d'insurgés, des soldats et quelques espions. Des balles sifflent à nos oreilles. On assiste à la chute des pots de fleurs sur les soldats, on entend la voix des insurgés, on voit leur peur et leur courage. On découvre le terrifiant jeu de « pile-face » pratiqués par les vainqueurs sur les insurgés désarmés... Un récit si haut en couleur que Jeanne sera une des sources d'inspiration d'Hugo pour écrire les Misérables.
Ainsi le jeune garçon aux cheveux roux décrit par Jeanne a très probablement servi de modèle à Gavroche...
Jeanne nous révèle de l'intérieur un monde à part, celui d'une barricade. Il nous rend témoins de sa construction et de son entretien. On y croise des dizaines d'insurgés, des soldats et quelques espions. Des balles sifflent à nos oreilles. On assiste à la chute des pots de fleurs sur les soldats, on entend la voix des insurgés, on voit leur peur et leur courage. On découvre le terrifiant jeu de « pile-face » pratiqués par les vainqueurs sur les insurgés désarmés... Un récit si haut en couleur que Jeanne sera une des sources d'inspiration d'Hugo pour écrire les Misérables.
Ainsi le jeune garçon aux cheveux roux décrit par Jeanne a très probablement servi de modèle à Gavroche...