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  • Nombre de pages336
  • FormatePub
  • ISBN978-2-207-14102-1
  • EAN9782207141021
  • Date de parution10/04/2018
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurDenoël

Résumé

3 bis, rue Riquet, Toulouse, un immeuble banal. Enfin pas tout à fait : Cécile, au rez-de-chaussée, traductrice agoraphobe, ne quitte jamais son appartement. Elle surveille les allées et venues de ses voisins par le judas de sa porte et s'invente des vies rocambolesques. Au premier, Lucie aime sortir et boire dans les bars en espérant le grand amour, via Internet. En face, Madeleine, la comtesse Mado des trottoirs, a connu ses heures de gloire dans le quartier.
L'âge venu, il ne lui reste plus guère de clients et les fins de mois sont difficiles. Seul homme de l'immeuble, Marc est un quadragénaire arriviste qui a spéculé en achetant le dernier étage. La présence d'une prostituée qui travaille à domicile dérange ses plans, il aimerait bien s'en débarrasser. Mais la comtesse Mado a du répondant, et la crudité de son langage cloue le bec du jeune cadre sans scrupule.
Pourtant, la vieillesse est cruelle, et le métier exige d'avoir les idées claires. Alors Mado bat le rappel de ses amies tapineuses et de ses voisines. C'est le combat de la dernière chance, elle le gagnera !
3 bis, rue Riquet, Toulouse, un immeuble banal. Enfin pas tout à fait : Cécile, au rez-de-chaussée, traductrice agoraphobe, ne quitte jamais son appartement. Elle surveille les allées et venues de ses voisins par le judas de sa porte et s'invente des vies rocambolesques. Au premier, Lucie aime sortir et boire dans les bars en espérant le grand amour, via Internet. En face, Madeleine, la comtesse Mado des trottoirs, a connu ses heures de gloire dans le quartier.
L'âge venu, il ne lui reste plus guère de clients et les fins de mois sont difficiles. Seul homme de l'immeuble, Marc est un quadragénaire arriviste qui a spéculé en achetant le dernier étage. La présence d'une prostituée qui travaille à domicile dérange ses plans, il aimerait bien s'en débarrasser. Mais la comtesse Mado a du répondant, et la crudité de son langage cloue le bec du jeune cadre sans scrupule.
Pourtant, la vieillesse est cruelle, et le métier exige d'avoir les idées claires. Alors Mado bat le rappel de ses amies tapineuses et de ses voisines. C'est le combat de la dernière chance, elle le gagnera !

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Tellement mieux que de la téléralité
Certains lecteurs peuvent se sentir quelque peu perdus dans la masse de livres, romans, documents qui sortent chaque année en librairie. Il n’est pas toujours évident sans certains conseils avisés de s’y retrouver, de faire le bon choix. Pour les gros lecteurs compulsifs, c’est peut-être un brin plus facile car ils se laissent plus facilement convaincre par une belle couverture, un pitch sympathique, voir juste un titre accrocheur. Pour ce roman, je l’avoue, mon choix s’est fait après la lecture de la quatrième de couverture, mais aussi à cause de son titre. La rue Riquet évoque bien des souvenirs pour moi, même si celle à laquelle je pense ne se trouve pas à Toulouse. Bref tout cela pour dire que se retrouver embarquer dans une nouvelle lecture tient à des détails insignifiants pour beaucoup. Mais je n’ai pas regretté d’avoir été faible avec mon côté émotif. Le contenu de ces pages m’en a donné également. C’est sans doute le principal et assurément le moteur qui pousse chaque lecteur à prendre un nouveau titre une fois le précédent terminé. Immeuble banal, pour décors de base, nous dit-on ? Possible, on en trouve dans chaque centre-ville des comme lui. Idem en fait pour ses quatre occupants qui sont tous différents, mais qui pourraient être votre voisine, l’habitant de la rue en face… Rien de très original au départ sauf qu’à bien y regarder, cette normalité est attachante. On regarde les protagonistes avec un œil plus bienveillant car on se sent proche d’eux tout en étant sans nul doute différent. Il y a là des ingrédients d’un roman facile à lire, des personnages qu’on va aimer détester ou au contraire vouloir défendre. On flirte avec le genre feel good, mais sans y plonger totalement. Il y a aussi des passages plus sombres, qui font mal car vraiment ancrés dans un réel qui remue. La vie, la vraie n’est pas forcément celle que l’on montre aux autres à travers des prismes. Il y a tout ce qui est tut, caché, omit, pas glorieux, peu reluisant, tout sauf vendeur… Le hasard distribue les cartes et heureusement, il a quelques beaux atouts de temps à autre. J’ai été émue, j’ai rigolé, j’ai vécu un peu la vie de chacun des personnages et c’était facile car c’étaient des gens ordinaires, mais le récit bien fait a rendu leurs existences moins fades et plus prenantes, plus impliquantes. Venez passez un moment avec Madeleine, Cécile, Marc et Lucie. Leurs vies sont à la fois ordinaires et peuplées de faits, remarques, idées surprenants. C’est tellement mieux et plus intéressant que n’importe quel programme de télé-réalité. Vous ressentirez de véritables émotions grâce à des personnages plus vrais que natures. Un roman qui ne paie pas de mine, mais qui cache une petite pépite.
Certains lecteurs peuvent se sentir quelque peu perdus dans la masse de livres, romans, documents qui sortent chaque année en librairie. Il n’est pas toujours évident sans certains conseils avisés de s’y retrouver, de faire le bon choix. Pour les gros lecteurs compulsifs, c’est peut-être un brin plus facile car ils se laissent plus facilement convaincre par une belle couverture, un pitch sympathique, voir juste un titre accrocheur. Pour ce roman, je l’avoue, mon choix s’est fait après la lecture de la quatrième de couverture, mais aussi à cause de son titre. La rue Riquet évoque bien des souvenirs pour moi, même si celle à laquelle je pense ne se trouve pas à Toulouse. Bref tout cela pour dire que se retrouver embarquer dans une nouvelle lecture tient à des détails insignifiants pour beaucoup. Mais je n’ai pas regretté d’avoir été faible avec mon côté émotif. Le contenu de ces pages m’en a donné également. C’est sans doute le principal et assurément le moteur qui pousse chaque lecteur à prendre un nouveau titre une fois le précédent terminé. Immeuble banal, pour décors de base, nous dit-on ? Possible, on en trouve dans chaque centre-ville des comme lui. Idem en fait pour ses quatre occupants qui sont tous différents, mais qui pourraient être votre voisine, l’habitant de la rue en face… Rien de très original au départ sauf qu’à bien y regarder, cette normalité est attachante. On regarde les protagonistes avec un œil plus bienveillant car on se sent proche d’eux tout en étant sans nul doute différent. Il y a là des ingrédients d’un roman facile à lire, des personnages qu’on va aimer détester ou au contraire vouloir défendre. On flirte avec le genre feel good, mais sans y plonger totalement. Il y a aussi des passages plus sombres, qui font mal car vraiment ancrés dans un réel qui remue. La vie, la vraie n’est pas forcément celle que l’on montre aux autres à travers des prismes. Il y a tout ce qui est tut, caché, omit, pas glorieux, peu reluisant, tout sauf vendeur… Le hasard distribue les cartes et heureusement, il a quelques beaux atouts de temps à autre. J’ai été émue, j’ai rigolé, j’ai vécu un peu la vie de chacun des personnages et c’était facile car c’étaient des gens ordinaires, mais le récit bien fait a rendu leurs existences moins fades et plus prenantes, plus impliquantes. Venez passez un moment avec Madeleine, Cécile, Marc et Lucie. Leurs vies sont à la fois ordinaires et peuplées de faits, remarques, idées surprenants. C’est tellement mieux et plus intéressant que n’importe quel programme de télé-réalité. Vous ressentirez de véritables émotions grâce à des personnages plus vrais que natures. Un roman qui ne paie pas de mine, mais qui cache une petite pépite.
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