2 ans au bagne de Ravensbrück

Par : Lucienne Simier, André Rogerie, Michelle Rousseau-Rambaud

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  • Nombre de pages108
  • FormatePub
  • ISBN2-307-07852-5
  • EAN9782307078524
  • Date de parution01/01/1992
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Héra...

Résumé

Lucienne Simier, Chevalier de la Légion d'honneur. Décorée de la Médaille militaire, de la Croix de Guerre, de la Croix du combattant volontaire de la Résistance, de la médaille de la Déportation. Lucienne Simier est née le 7 juin 1897, à Saint-Germain-sur-Moine, et a passé son enfance à Champigné. Elle fut pensionnaire au lycée de jeunes filles du Mans, et arrêta ses études pour raison de santé. Préceptrice dans des familles du Bordelais, elle part en Angleterre, où elle enseigne le français dans des écoles privées, et revient en France dans une école anglaise à Meudon, puis en Grèce.
Elle passe un concours et devient économe au collège de jeunes filles Joachim-du-Bellay à Angers. C'est dans cet établissement, à la suite d'une délation, que le 5 février 1943 la Gestapo vient arrêter Mademoiselle la Directrice, Marie Talet, puis quatre professeurs et l'économe : Mademoiselle Marthe Mourbel, professeur de philosophie, le 6 février ; Madame Anne-Marie Baudin, professeur d'anglais, le 28 février ; Madame Marie-Madeleine James, professeur d'anglais, le 5 mars ; Mademoiselle Lucienne Simier, économe, le 12 mars ; Mademoiselle Jeanne Letourneau, professeur de dessin, le 13 mars.
Le motif donné par la Gestapo : « action criminelle contre l'Allemagne ». Il n'y eut ni procès ni jugement. Le rôle de certaines dénonciations reste assez confus. Alors commence le long calvaire de Lucienne Simier : Le Pré-Pigeon, prison d'Angers, du 12 mars au 5 avril 1943 ; Romainville, du 16 au 25 avril ; Compiègne, les 25 et 26 avril, et départ vers Ravensbrück. Désormais, commence la vie épouvantable, dans ce camp de concentration pour femmes créé en 1937 dans le Meklembourg.
Ravensbrück, du 1er mai 1943, au 14 février 1945 ; Reschling, du 14 février au 5 mars 1945 ; Ravensbrück à nouveau, du 5 mars au 5 avril 1945. Libre enfin, à Paris, le 14 avril 1945... Mais, hélas, parmi les enseignantes, trois ne sont pas revenues : Mademoiselle Marie Talet, décédée le 14 décembre 1944 ; Madame Baudin, décédée en février 1945 ; Mademoiselle Mourbel, décédée sur le chemin du retour, le 16 mai 1945.
Lucienne Simier, Chevalier de la Légion d'honneur. Décorée de la Médaille militaire, de la Croix de Guerre, de la Croix du combattant volontaire de la Résistance, de la médaille de la Déportation. Lucienne Simier est née le 7 juin 1897, à Saint-Germain-sur-Moine, et a passé son enfance à Champigné. Elle fut pensionnaire au lycée de jeunes filles du Mans, et arrêta ses études pour raison de santé. Préceptrice dans des familles du Bordelais, elle part en Angleterre, où elle enseigne le français dans des écoles privées, et revient en France dans une école anglaise à Meudon, puis en Grèce.
Elle passe un concours et devient économe au collège de jeunes filles Joachim-du-Bellay à Angers. C'est dans cet établissement, à la suite d'une délation, que le 5 février 1943 la Gestapo vient arrêter Mademoiselle la Directrice, Marie Talet, puis quatre professeurs et l'économe : Mademoiselle Marthe Mourbel, professeur de philosophie, le 6 février ; Madame Anne-Marie Baudin, professeur d'anglais, le 28 février ; Madame Marie-Madeleine James, professeur d'anglais, le 5 mars ; Mademoiselle Lucienne Simier, économe, le 12 mars ; Mademoiselle Jeanne Letourneau, professeur de dessin, le 13 mars.
Le motif donné par la Gestapo : « action criminelle contre l'Allemagne ». Il n'y eut ni procès ni jugement. Le rôle de certaines dénonciations reste assez confus. Alors commence le long calvaire de Lucienne Simier : Le Pré-Pigeon, prison d'Angers, du 12 mars au 5 avril 1943 ; Romainville, du 16 au 25 avril ; Compiègne, les 25 et 26 avril, et départ vers Ravensbrück. Désormais, commence la vie épouvantable, dans ce camp de concentration pour femmes créé en 1937 dans le Meklembourg.
Ravensbrück, du 1er mai 1943, au 14 février 1945 ; Reschling, du 14 février au 5 mars 1945 ; Ravensbrück à nouveau, du 5 mars au 5 avril 1945. Libre enfin, à Paris, le 14 avril 1945... Mais, hélas, parmi les enseignantes, trois ne sont pas revenues : Mademoiselle Marie Talet, décédée le 14 décembre 1944 ; Madame Baudin, décédée en février 1945 ; Mademoiselle Mourbel, décédée sur le chemin du retour, le 16 mai 1945.
2 ans au bagne de Ravensbrück
Lucienne Simier, André Rogerie, Michelle Rousseau-Rambaud
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