Femme provinciale modeste - d'abord comédienne et chanteuse de métier, autodidacte -, Marceline Desbordes-Valmore jouit pourtant d'une grande notoriété qu'attestent les hommages de Lamartine, Baudelaire, Verlaine, Saint Beuve ; plus tard d'Aragon, Stefan Zweig et d'Yves Bonnefoy. Cette "oubliée admirée" s'est souvent vue réduite à une image sentimentale et larmoyante qui a joué en sa défaveur malgré un regain d'intérêt pour les figures féminines des siècles passés.
Le titre du recueil sur lequel porte ce livre, Les Pleurs, y est pour beaucoup.
Femme provinciale modeste - d'abord comédienne et chanteuse de métier, autodidacte -, Marceline Desbordes-Valmore jouit pourtant d'une grande notoriété qu'attestent les hommages de Lamartine, Baudelaire, Verlaine, Saint Beuve ; plus tard d'Aragon, Stefan Zweig et d'Yves Bonnefoy. Cette "oubliée admirée" s'est souvent vue réduite à une image sentimentale et larmoyante qui a joué en sa défaveur malgré un regain d'intérêt pour les figures féminines des siècles passés.
Le titre du recueil sur lequel porte ce livre, Les Pleurs, y est pour beaucoup.