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Jean-Marc Sabatier

Dernière sortie
Plus rien n'échappe à l'ARN messager - Hommes, animaux, plantes : une contamination du vivant est en cours
Sous injection permanente : hommes, animaux, plantes... Personne n'échappe au vaccin à ARN Messager ! Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, dénonce la contamination massive du vivant qui est en cours. Vaccins auto-amplifiants, trans-amplifiants et à points quantiques de graphène Une contamination massive du vivant est en cours La " vaccination " n'est plus un outil médical : c'est un dogme.
Une obsession planétaire où la science s'efface devant la croyance. Jadis simple rempart contre certaines maladies, le " vaccin " est devenu l'icône d'un progrès technologique aveugle, sanctifié par les politiques, les industriels et les nouveaux prêtres de la médecine. Peu importent les échecs, les effets indésirables, les promesses non tenues : l'injection est désormais la réponse à tout. L'exemple le plus frappant ? Les vaccins à ARN messager contre le Sars-CoV-2.
Présentés comme la clé de sortie de la crise sanitaire, ils devaient éradiquer le virus. Ils ont échoué. Transmission, contamination, effets indésirables graves - myocardites, AVC, maladies auto-immunes, cancers : autant d'alertes ignorées, dissimulées, niées. Plutôt que de faire marche arrière, on accélère. Plus de 500 nouveaux vaccins à ARN messager de deuxième génération - auto-amplifiants, trans-amplifiants et à points quantiques de graphène - sont en développement, non seulement pour l'homme, mais aussi pour les animaux...
et même pour les plantes. Car demain, ce ne sera pas uniquement une question de piqûres : il suffira de manger une salade pour être " vacciné ". Des légumes modifiés pour " protéger " ceux qui les consomment, une médecine furtive qui s'impose sans qu'on en mesure les enjeux, sans choix éclairé ni recul. Ce n'est plus de la prévention, c'est une dérive technologique vertigineuse, où l'expérimentation de masse devient la norme.
A force de tout vouloir contrôler, tout modifier, ne risquons-nous pas de détruire l'équilibre des écosystèmes ? Des hommes aux animaux d'élevage et domestiques, des poissons d'aquaculture aux légumes que nous consommons, c'est tout le vivant qui pourrait être soumis en permanence à diverses formes de " vaccination ", façonné au gré des ambitions de quelques milliardaires... Mais jusqu'où irons-nous ? Et surtout, jusqu'où accepterons-nous d'aller ?
Une obsession planétaire où la science s'efface devant la croyance. Jadis simple rempart contre certaines maladies, le " vaccin " est devenu l'icône d'un progrès technologique aveugle, sanctifié par les politiques, les industriels et les nouveaux prêtres de la médecine. Peu importent les échecs, les effets indésirables, les promesses non tenues : l'injection est désormais la réponse à tout. L'exemple le plus frappant ? Les vaccins à ARN messager contre le Sars-CoV-2.
Présentés comme la clé de sortie de la crise sanitaire, ils devaient éradiquer le virus. Ils ont échoué. Transmission, contamination, effets indésirables graves - myocardites, AVC, maladies auto-immunes, cancers : autant d'alertes ignorées, dissimulées, niées. Plutôt que de faire marche arrière, on accélère. Plus de 500 nouveaux vaccins à ARN messager de deuxième génération - auto-amplifiants, trans-amplifiants et à points quantiques de graphène - sont en développement, non seulement pour l'homme, mais aussi pour les animaux...
et même pour les plantes. Car demain, ce ne sera pas uniquement une question de piqûres : il suffira de manger une salade pour être " vacciné ". Des légumes modifiés pour " protéger " ceux qui les consomment, une médecine furtive qui s'impose sans qu'on en mesure les enjeux, sans choix éclairé ni recul. Ce n'est plus de la prévention, c'est une dérive technologique vertigineuse, où l'expérimentation de masse devient la norme.
A force de tout vouloir contrôler, tout modifier, ne risquons-nous pas de détruire l'équilibre des écosystèmes ? Des hommes aux animaux d'élevage et domestiques, des poissons d'aquaculture aux légumes que nous consommons, c'est tout le vivant qui pourrait être soumis en permanence à diverses formes de " vaccination ", façonné au gré des ambitions de quelques milliardaires... Mais jusqu'où irons-nous ? Et surtout, jusqu'où accepterons-nous d'aller ?
Sous injection permanente : hommes, animaux, plantes... Personne n'échappe au vaccin à ARN Messager ! Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, dénonce la contamination massive du vivant qui est en cours. Vaccins auto-amplifiants, trans-amplifiants et à points quantiques de graphène Une contamination massive du vivant est en cours La " vaccination " n'est plus un outil médical : c'est un dogme.
Une obsession planétaire où la science s'efface devant la croyance. Jadis simple rempart contre certaines maladies, le " vaccin " est devenu l'icône d'un progrès technologique aveugle, sanctifié par les politiques, les industriels et les nouveaux prêtres de la médecine. Peu importent les échecs, les effets indésirables, les promesses non tenues : l'injection est désormais la réponse à tout. L'exemple le plus frappant ? Les vaccins à ARN messager contre le Sars-CoV-2.
Présentés comme la clé de sortie de la crise sanitaire, ils devaient éradiquer le virus. Ils ont échoué. Transmission, contamination, effets indésirables graves - myocardites, AVC, maladies auto-immunes, cancers : autant d'alertes ignorées, dissimulées, niées. Plutôt que de faire marche arrière, on accélère. Plus de 500 nouveaux vaccins à ARN messager de deuxième génération - auto-amplifiants, trans-amplifiants et à points quantiques de graphène - sont en développement, non seulement pour l'homme, mais aussi pour les animaux...
et même pour les plantes. Car demain, ce ne sera pas uniquement une question de piqûres : il suffira de manger une salade pour être " vacciné ". Des légumes modifiés pour " protéger " ceux qui les consomment, une médecine furtive qui s'impose sans qu'on en mesure les enjeux, sans choix éclairé ni recul. Ce n'est plus de la prévention, c'est une dérive technologique vertigineuse, où l'expérimentation de masse devient la norme.
A force de tout vouloir contrôler, tout modifier, ne risquons-nous pas de détruire l'équilibre des écosystèmes ? Des hommes aux animaux d'élevage et domestiques, des poissons d'aquaculture aux légumes que nous consommons, c'est tout le vivant qui pourrait être soumis en permanence à diverses formes de " vaccination ", façonné au gré des ambitions de quelques milliardaires... Mais jusqu'où irons-nous ? Et surtout, jusqu'où accepterons-nous d'aller ?
Une obsession planétaire où la science s'efface devant la croyance. Jadis simple rempart contre certaines maladies, le " vaccin " est devenu l'icône d'un progrès technologique aveugle, sanctifié par les politiques, les industriels et les nouveaux prêtres de la médecine. Peu importent les échecs, les effets indésirables, les promesses non tenues : l'injection est désormais la réponse à tout. L'exemple le plus frappant ? Les vaccins à ARN messager contre le Sars-CoV-2.
Présentés comme la clé de sortie de la crise sanitaire, ils devaient éradiquer le virus. Ils ont échoué. Transmission, contamination, effets indésirables graves - myocardites, AVC, maladies auto-immunes, cancers : autant d'alertes ignorées, dissimulées, niées. Plutôt que de faire marche arrière, on accélère. Plus de 500 nouveaux vaccins à ARN messager de deuxième génération - auto-amplifiants, trans-amplifiants et à points quantiques de graphène - sont en développement, non seulement pour l'homme, mais aussi pour les animaux...
et même pour les plantes. Car demain, ce ne sera pas uniquement une question de piqûres : il suffira de manger une salade pour être " vacciné ". Des légumes modifiés pour " protéger " ceux qui les consomment, une médecine furtive qui s'impose sans qu'on en mesure les enjeux, sans choix éclairé ni recul. Ce n'est plus de la prévention, c'est une dérive technologique vertigineuse, où l'expérimentation de masse devient la norme.
A force de tout vouloir contrôler, tout modifier, ne risquons-nous pas de détruire l'équilibre des écosystèmes ? Des hommes aux animaux d'élevage et domestiques, des poissons d'aquaculture aux légumes que nous consommons, c'est tout le vivant qui pourrait être soumis en permanence à diverses formes de " vaccination ", façonné au gré des ambitions de quelques milliardaires... Mais jusqu'où irons-nous ? Et surtout, jusqu'où accepterons-nous d'aller ?
Les livres de Jean-Marc Sabatier

Covid long et effets indésirables du vaccin. Mécanismes biologiques et traitements prometteurs
Jean-Marc Sabatier, Estelle Fougeres
E-book
10,99 €

La force du mental. Etre un champion, ça s'apprend en entreprise comme dans le sport
Pier Gauthier, Jean-Marc Sabatier
Grand Format
19,90 €
À paraître

Covid-19 - La censure scientifique - Vaccins vétérinaires ARNm - Alimentation & santé en danger
Jean-Marc Sabatier, Marcel Gay
22,00 €

10,99 €

10,99 €

10,99 €

10,99 €

10,99 €

49,00 €

20,50 €

15,00 €
À paraître

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Jean-Marc Sabatier, Estelle Fougeres
21,00 €