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Olivier Van Beemen

Dernière sortie
Au nom de la nature
L'enquête-choc sur les agissements d'une des plus puissantes ONG africaines de conservation de la nature. L'ONG African Parks administre vingt-deux parcs dans douze pays du continent, employant plus de cinq mille personnes sur vingt millions d'hectares. African Parks reçoit des aides de plusieurs gouvernements occidentaux (dont la France), de milliardaires philanthropes et même de stars. Parmi ses soutiens les plus célèbres, on compte Taylor Swift, Leonardo DiCaprio, ou encore le prince Harry, duc de Sussex, qui a présidé l'association pendant six ans et reste aujourd'hui membre du conseil d'administration.
Le modèle d'African Parks est souvent présenté comme la meilleure solution pour protéger les écosystèmes fragiles et sauver de l'extinction la faune et la flore africaines, tout en bénéficiant aux populations locales. Mais quels sont les vrais objectifs de l'ONG ? Au terme d'une enquête de quatre années, le journaliste Olivier van Beemen porte un regard critique sur ses pratiques. Il démontre comment la gestion de l'organisation, menée par des cadres supérieurs majoritairement blancs, est source d'une forte résistance, voire de conflits, avec les populations locales qui voient leurs droits et leurs coutumes bafoués.
Car African Parks est un cas d'école de néocolonialisme vert : sous couvert de préserver la faune et la flore, des décideurs et milliardaires blancs entretiennent le mythe occidental de la "nature africaine vierge et sauvage" pour mieux la vendre aux touristes, tout en privatisant des fonctions de l'Etat et en déterminant l'avenir de vastes territoires africains. Au fil des pages, le journaliste partage aussi les coulisses de sa longue investigation, et notamment les nombreuses difficultés qu'il a affrontées en raison de l'attitude très défensive, voire hostile, de l'ONG.
Traduit du néerlandais (Pays-Bas) par Daniel Cunin "Un livre important, qui se lit comme un polar". Su ? ddeutsche Zeitung "Un scénario à suspense, David vs Goliath". Die Welt "Une vérité qui dérange, mais qui nous pousse à repenser notre manière de lutter pour la nature". Guillaume Blanc, auteur de L'Invention du colonialisme vert Olivier van Beemen est un journaliste d'investigation néerlandais spécialiste de l'Afrique.
Il a été pendant dix ans correspondant en France et a publié dans Le Monde et Mediapart. Il est déjà l'auteur de l'enquête Heineken en Afrique. Une multinationale décomplexée (Rue de l'échiquier, 2018), traduite dans quatre langues. Il est souvent invité à donner des conférences lors de réunions internationales en Afrique et en Europe, et dans plusieurs
Le modèle d'African Parks est souvent présenté comme la meilleure solution pour protéger les écosystèmes fragiles et sauver de l'extinction la faune et la flore africaines, tout en bénéficiant aux populations locales. Mais quels sont les vrais objectifs de l'ONG ? Au terme d'une enquête de quatre années, le journaliste Olivier van Beemen porte un regard critique sur ses pratiques. Il démontre comment la gestion de l'organisation, menée par des cadres supérieurs majoritairement blancs, est source d'une forte résistance, voire de conflits, avec les populations locales qui voient leurs droits et leurs coutumes bafoués.
Car African Parks est un cas d'école de néocolonialisme vert : sous couvert de préserver la faune et la flore, des décideurs et milliardaires blancs entretiennent le mythe occidental de la "nature africaine vierge et sauvage" pour mieux la vendre aux touristes, tout en privatisant des fonctions de l'Etat et en déterminant l'avenir de vastes territoires africains. Au fil des pages, le journaliste partage aussi les coulisses de sa longue investigation, et notamment les nombreuses difficultés qu'il a affrontées en raison de l'attitude très défensive, voire hostile, de l'ONG.
Traduit du néerlandais (Pays-Bas) par Daniel Cunin "Un livre important, qui se lit comme un polar". Su ? ddeutsche Zeitung "Un scénario à suspense, David vs Goliath". Die Welt "Une vérité qui dérange, mais qui nous pousse à repenser notre manière de lutter pour la nature". Guillaume Blanc, auteur de L'Invention du colonialisme vert Olivier van Beemen est un journaliste d'investigation néerlandais spécialiste de l'Afrique.
Il a été pendant dix ans correspondant en France et a publié dans Le Monde et Mediapart. Il est déjà l'auteur de l'enquête Heineken en Afrique. Une multinationale décomplexée (Rue de l'échiquier, 2018), traduite dans quatre langues. Il est souvent invité à donner des conférences lors de réunions internationales en Afrique et en Europe, et dans plusieurs
L'enquête-choc sur les agissements d'une des plus puissantes ONG africaines de conservation de la nature. L'ONG African Parks administre vingt-deux parcs dans douze pays du continent, employant plus de cinq mille personnes sur vingt millions d'hectares. African Parks reçoit des aides de plusieurs gouvernements occidentaux (dont la France), de milliardaires philanthropes et même de stars. Parmi ses soutiens les plus célèbres, on compte Taylor Swift, Leonardo DiCaprio, ou encore le prince Harry, duc de Sussex, qui a présidé l'association pendant six ans et reste aujourd'hui membre du conseil d'administration.
Le modèle d'African Parks est souvent présenté comme la meilleure solution pour protéger les écosystèmes fragiles et sauver de l'extinction la faune et la flore africaines, tout en bénéficiant aux populations locales. Mais quels sont les vrais objectifs de l'ONG ? Au terme d'une enquête de quatre années, le journaliste Olivier van Beemen porte un regard critique sur ses pratiques. Il démontre comment la gestion de l'organisation, menée par des cadres supérieurs majoritairement blancs, est source d'une forte résistance, voire de conflits, avec les populations locales qui voient leurs droits et leurs coutumes bafoués.
Car African Parks est un cas d'école de néocolonialisme vert : sous couvert de préserver la faune et la flore, des décideurs et milliardaires blancs entretiennent le mythe occidental de la "nature africaine vierge et sauvage" pour mieux la vendre aux touristes, tout en privatisant des fonctions de l'Etat et en déterminant l'avenir de vastes territoires africains. Au fil des pages, le journaliste partage aussi les coulisses de sa longue investigation, et notamment les nombreuses difficultés qu'il a affrontées en raison de l'attitude très défensive, voire hostile, de l'ONG.
Traduit du néerlandais (Pays-Bas) par Daniel Cunin "Un livre important, qui se lit comme un polar". Su ? ddeutsche Zeitung "Un scénario à suspense, David vs Goliath". Die Welt "Une vérité qui dérange, mais qui nous pousse à repenser notre manière de lutter pour la nature". Guillaume Blanc, auteur de L'Invention du colonialisme vert Olivier van Beemen est un journaliste d'investigation néerlandais spécialiste de l'Afrique.
Il a été pendant dix ans correspondant en France et a publié dans Le Monde et Mediapart. Il est déjà l'auteur de l'enquête Heineken en Afrique. Une multinationale décomplexée (Rue de l'échiquier, 2018), traduite dans quatre langues. Il est souvent invité à donner des conférences lors de réunions internationales en Afrique et en Europe, et dans plusieurs
Le modèle d'African Parks est souvent présenté comme la meilleure solution pour protéger les écosystèmes fragiles et sauver de l'extinction la faune et la flore africaines, tout en bénéficiant aux populations locales. Mais quels sont les vrais objectifs de l'ONG ? Au terme d'une enquête de quatre années, le journaliste Olivier van Beemen porte un regard critique sur ses pratiques. Il démontre comment la gestion de l'organisation, menée par des cadres supérieurs majoritairement blancs, est source d'une forte résistance, voire de conflits, avec les populations locales qui voient leurs droits et leurs coutumes bafoués.
Car African Parks est un cas d'école de néocolonialisme vert : sous couvert de préserver la faune et la flore, des décideurs et milliardaires blancs entretiennent le mythe occidental de la "nature africaine vierge et sauvage" pour mieux la vendre aux touristes, tout en privatisant des fonctions de l'Etat et en déterminant l'avenir de vastes territoires africains. Au fil des pages, le journaliste partage aussi les coulisses de sa longue investigation, et notamment les nombreuses difficultés qu'il a affrontées en raison de l'attitude très défensive, voire hostile, de l'ONG.
Traduit du néerlandais (Pays-Bas) par Daniel Cunin "Un livre important, qui se lit comme un polar". Su ? ddeutsche Zeitung "Un scénario à suspense, David vs Goliath". Die Welt "Une vérité qui dérange, mais qui nous pousse à repenser notre manière de lutter pour la nature". Guillaume Blanc, auteur de L'Invention du colonialisme vert Olivier van Beemen est un journaliste d'investigation néerlandais spécialiste de l'Afrique.
Il a été pendant dix ans correspondant en France et a publié dans Le Monde et Mediapart. Il est déjà l'auteur de l'enquête Heineken en Afrique. Une multinationale décomplexée (Rue de l'échiquier, 2018), traduite dans quatre langues. Il est souvent invité à donner des conférences lors de réunions internationales en Afrique et en Europe, et dans plusieurs
Les livres de Olivier Van Beemen

4/5
9,99 €

4/5
Heineken en Afrique. Une multinationale décomplexée
édition revue et augmentée
Olivier Van Beemen
Poche
10,00 €

Heineken in Africa. La miniera d’oro di una multinazionale europea
Olivier Van Beemen, Stefano Musilli
E-book
8,99 €

4/5
9,99 €