Lorsque les élèves et disciples du maître écuyer portugais Nuno Oliveira (1925-1989) lui ont demandé d'assurer la postérité de sa manière d'amener les chevaux au sommet de leurs capacités en composant un traité d'équitation, il a préféré demander à l'un d'eux, le sculpteur (et fin cavalier) Jean-Louis Sauvat, de fixer par le dessin les principales phases du dressage d'un cheval. Nuno Oliveira s'est engagé à expliciter ces croquis pris sur le vif en les accompagnant de commentaires.
On ne peut être surpris de cette idée originale de coopération entre un écuyer et un artiste puisque Nuno Oliveira était persuadé que l'équitation est un art. Et, comme Napoléon, qu'un bon dessin vaut mieux qu'un long discours.
Lorsque les élèves et disciples du maître écuyer portugais Nuno Oliveira (1925-1989) lui ont demandé d'assurer la postérité de sa manière d'amener les chevaux au sommet de leurs capacités en composant un traité d'équitation, il a préféré demander à l'un d'eux, le sculpteur (et fin cavalier) Jean-Louis Sauvat, de fixer par le dessin les principales phases du dressage d'un cheval. Nuno Oliveira s'est engagé à expliciter ces croquis pris sur le vif en les accompagnant de commentaires.
On ne peut être surpris de cette idée originale de coopération entre un écuyer et un artiste puisque Nuno Oliveira était persuadé que l'équitation est un art. Et, comme Napoléon, qu'un bon dessin vaut mieux qu'un long discours.