Dans son précédent recueil, "Une femme c'est un Indien" , l'autrice nous invitait à "un voyage, une quête, une Amérique" , mais l'on restait coincés à la frontière. Cette fois, on embarque vers d'autres contrées où "nous passons" . Le départ se fait à "Hollywoode" (au féminin), sur un écran ou l'on découvre d'abord John Wayne, vite remplacé par Jennifer Beals. Puis c'est la narratrice qui prend les commandes : de truqueuse à maquilleuse (elle assume les effets), la voilà qui joue les actrices et devient personnage.
Avec sa plume, son arc et son "ordi" , elle nous guide dans un tour du monde avant de nous faire visiter le sien, depuis "l'île Emily" (Dickinson) jusqu'à Pina Bausch, en passant par la Méditerranée, les Sex Pistols, Béla Bartók, Germaine Richier ou "les hommes des années 70" .
Dans son précédent recueil, "Une femme c'est un Indien" , l'autrice nous invitait à "un voyage, une quête, une Amérique" , mais l'on restait coincés à la frontière. Cette fois, on embarque vers d'autres contrées où "nous passons" . Le départ se fait à "Hollywoode" (au féminin), sur un écran ou l'on découvre d'abord John Wayne, vite remplacé par Jennifer Beals. Puis c'est la narratrice qui prend les commandes : de truqueuse à maquilleuse (elle assume les effets), la voilà qui joue les actrices et devient personnage.
Avec sa plume, son arc et son "ordi" , elle nous guide dans un tour du monde avant de nous faire visiter le sien, depuis "l'île Emily" (Dickinson) jusqu'à Pina Bausch, en passant par la Méditerranée, les Sex Pistols, Béla Bartók, Germaine Richier ou "les hommes des années 70" .