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Anders Fjeld

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Pratiques d'expérimentation
Partant d'une relecture audacieuse de Jacques Rancière, cet essai déploie une philosophie de l'expérimentation, à la croisée de la vie, de la politique et de l'esthétique, à la recherche de nouvelles manières d'imaginer, d'explorer et d'agencer les possibles.
Expérimenter, c'est rendre le monde explorable, non pas en y cherchant des terres vierges, mais en y agençant des désajustements, court-circuitages, mystères, conflits et utopies.
C'est remettre en jeu ce qui constitue nos communs, réinterroger nos pratiques, défricher nos imaginaires et réinventer qui nous sommes. C'est soumettre le réel aux coefficients sauvages du possible. Partant d'une relecture audacieuse de Jacques Rancière, cet essai explore des scènes d'expérimentation à la croisée de la vie, de la politique et de l'esthétique telles que l'histoire de Claudette Colvin au sein du mouvement des droits civiques, les expériences utopiques du Familistère de Guise, le journalisme de James Agee, la photographie anthropométrique d'Alphonse Bertillon et la table des fous dans Alice au Pays des merveilles.
L'auteur conceptualise par là quatre registres de pratique expérimentale : identification policière, suridentification utopique, désidentification politique et anidentification démocratique. Formant ainsi le socle d'une cartographie du possible, la notion d'expérimentation se révèle comme profondément démocratique : multiplier les coordonnées de nos mondes communs, savoir les naviguer par des tâtonnements du possible et cultiver le goût pour l'inconnu et l'improvisé.
C'est remettre en jeu ce qui constitue nos communs, réinterroger nos pratiques, défricher nos imaginaires et réinventer qui nous sommes. C'est soumettre le réel aux coefficients sauvages du possible. Partant d'une relecture audacieuse de Jacques Rancière, cet essai explore des scènes d'expérimentation à la croisée de la vie, de la politique et de l'esthétique telles que l'histoire de Claudette Colvin au sein du mouvement des droits civiques, les expériences utopiques du Familistère de Guise, le journalisme de James Agee, la photographie anthropométrique d'Alphonse Bertillon et la table des fous dans Alice au Pays des merveilles.
L'auteur conceptualise par là quatre registres de pratique expérimentale : identification policière, suridentification utopique, désidentification politique et anidentification démocratique. Formant ainsi le socle d'une cartographie du possible, la notion d'expérimentation se révèle comme profondément démocratique : multiplier les coordonnées de nos mondes communs, savoir les naviguer par des tâtonnements du possible et cultiver le goût pour l'inconnu et l'improvisé.
Partant d'une relecture audacieuse de Jacques Rancière, cet essai déploie une philosophie de l'expérimentation, à la croisée de la vie, de la politique et de l'esthétique, à la recherche de nouvelles manières d'imaginer, d'explorer et d'agencer les possibles.
Expérimenter, c'est rendre le monde explorable, non pas en y cherchant des terres vierges, mais en y agençant des désajustements, court-circuitages, mystères, conflits et utopies.
C'est remettre en jeu ce qui constitue nos communs, réinterroger nos pratiques, défricher nos imaginaires et réinventer qui nous sommes. C'est soumettre le réel aux coefficients sauvages du possible. Partant d'une relecture audacieuse de Jacques Rancière, cet essai explore des scènes d'expérimentation à la croisée de la vie, de la politique et de l'esthétique telles que l'histoire de Claudette Colvin au sein du mouvement des droits civiques, les expériences utopiques du Familistère de Guise, le journalisme de James Agee, la photographie anthropométrique d'Alphonse Bertillon et la table des fous dans Alice au Pays des merveilles.
L'auteur conceptualise par là quatre registres de pratique expérimentale : identification policière, suridentification utopique, désidentification politique et anidentification démocratique. Formant ainsi le socle d'une cartographie du possible, la notion d'expérimentation se révèle comme profondément démocratique : multiplier les coordonnées de nos mondes communs, savoir les naviguer par des tâtonnements du possible et cultiver le goût pour l'inconnu et l'improvisé.
C'est remettre en jeu ce qui constitue nos communs, réinterroger nos pratiques, défricher nos imaginaires et réinventer qui nous sommes. C'est soumettre le réel aux coefficients sauvages du possible. Partant d'une relecture audacieuse de Jacques Rancière, cet essai explore des scènes d'expérimentation à la croisée de la vie, de la politique et de l'esthétique telles que l'histoire de Claudette Colvin au sein du mouvement des droits civiques, les expériences utopiques du Familistère de Guise, le journalisme de James Agee, la photographie anthropométrique d'Alphonse Bertillon et la table des fous dans Alice au Pays des merveilles.
L'auteur conceptualise par là quatre registres de pratique expérimentale : identification policière, suridentification utopique, désidentification politique et anidentification démocratique. Formant ainsi le socle d'une cartographie du possible, la notion d'expérimentation se révèle comme profondément démocratique : multiplier les coordonnées de nos mondes communs, savoir les naviguer par des tâtonnements du possible et cultiver le goût pour l'inconnu et l'improvisé.
Les livres de Anders Fjeld

Le monde selon Adam Smith. Essai sur l'imaginaire en économie
Anders Fjeld, Matthieu de Nanteuil
Grand Format
22,00 €

9,99 €

16,00 €

8,99 €

8,99 €

12,00 €

Tumultes N° 47, octobre 2016
Utopia Nova. La démocratie, radicalement
Alice Carabédian, Manuel Cervera-Marzal, Anders Fjeld
Grand Format
20,00 €