Jusqu'à son décès le 19 juillet dernier, Alain Anziani a tenu le journal des trois dernières années de sa vie. Depuis l'annonce de son premier cancer jusqu'à la veille de sa mort, l'ancien maire socialiste de Mérignac et président de Bordeaux Métropole a décrit sans détour le quotidien d'un malade, la dégradation de santé, ses conséquences sur l'évolution de ses mandats politiques. Il y nourrit également d'intenses réflexions sur le monde hospitalier, le rôle des soignants, le statut des aidants.
Et, non sans humour, traite de la question de la mort au moment ou était débattue la loi sur la fin de vie. "? C'est une étrange expérience d'être confronté à sa mort. ? " écrit Alain Anziani.
Jusqu'à son décès le 19 juillet dernier, Alain Anziani a tenu le journal des trois dernières années de sa vie. Depuis l'annonce de son premier cancer jusqu'à la veille de sa mort, l'ancien maire socialiste de Mérignac et président de Bordeaux Métropole a décrit sans détour le quotidien d'un malade, la dégradation de santé, ses conséquences sur l'évolution de ses mandats politiques. Il y nourrit également d'intenses réflexions sur le monde hospitalier, le rôle des soignants, le statut des aidants.
Et, non sans humour, traite de la question de la mort au moment ou était débattue la loi sur la fin de vie. "? C'est une étrange expérience d'être confronté à sa mort. ? " écrit Alain Anziani.