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David Rigoulet-Roze

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Sage comme une image ?
On connaît les enfants peints par Greuze, au soir du mir siècle, puis les bambins de Renoir et les petit Poulbots, ou encore les images d'écoliers de la troisième République... Entre ces deux âges d'or, les représentations de l'enfance réalisées durant la première moitié du XIXe siècle semblent moins célèbres : la période en offre pourtant de beaux exemples, aussi innovants que d'une incontestable qualité artistique.
Le demi-siècle qui suit la Révolution française ouvre des débats inédits sur la place de l'enfant dans une société en rapide transformation. Quelles nouvelles représentations de l'enfance les meilleurs artistes de cette époque ont-ils proposées ? Ces images correspondent-elles aux rôles alors assignés aux enfants, aux espoirs dont ils sont porteurs, à la diversité de leurs conditions de vie ? Et aujourd'hui, ces représentations nous paraissent-elles familières ou étranges ? Cet ouvrage reflète le parcours d'une exposition qui débute avec le mythe de l'innocence enfantine, hérité de la philosophie des Lumières, et mène aux réalités âpres de l'enfant-soldat et du travail des enfants.
Il convoque autant les oeuvres de propagande ou d'illustration littéraire que les portraits d'enfants réels, anonymes ou célèbres, peints, sculptés et photographiés. Un dialogue fécond s'instaure en effet entre les arts académiques (peinture et sculpture) et le médium nouveau qu'est alors la photographie, diffusée à partir de 1839. Au croisement de l'histoire sociale et de l'histoire de l'art, la sélection d'oeuvres commentées mâle les grands noms de l'époque - David d'Angers, Géricault, Delacroix, Girodet, Daumier - à des artistes de talent à redécouvrir : Asselineau, Châtillon, Champmartin, Landon, Monanteuil, Suc...
Elle met en valeur la richesse des collections publiques et privées du Grand Ouest français, renforcées par une trentaine de prèts exceptionnels du musée du Louvre.
Le demi-siècle qui suit la Révolution française ouvre des débats inédits sur la place de l'enfant dans une société en rapide transformation. Quelles nouvelles représentations de l'enfance les meilleurs artistes de cette époque ont-ils proposées ? Ces images correspondent-elles aux rôles alors assignés aux enfants, aux espoirs dont ils sont porteurs, à la diversité de leurs conditions de vie ? Et aujourd'hui, ces représentations nous paraissent-elles familières ou étranges ? Cet ouvrage reflète le parcours d'une exposition qui débute avec le mythe de l'innocence enfantine, hérité de la philosophie des Lumières, et mène aux réalités âpres de l'enfant-soldat et du travail des enfants.
Il convoque autant les oeuvres de propagande ou d'illustration littéraire que les portraits d'enfants réels, anonymes ou célèbres, peints, sculptés et photographiés. Un dialogue fécond s'instaure en effet entre les arts académiques (peinture et sculpture) et le médium nouveau qu'est alors la photographie, diffusée à partir de 1839. Au croisement de l'histoire sociale et de l'histoire de l'art, la sélection d'oeuvres commentées mâle les grands noms de l'époque - David d'Angers, Géricault, Delacroix, Girodet, Daumier - à des artistes de talent à redécouvrir : Asselineau, Châtillon, Champmartin, Landon, Monanteuil, Suc...
Elle met en valeur la richesse des collections publiques et privées du Grand Ouest français, renforcées par une trentaine de prèts exceptionnels du musée du Louvre.
On connaît les enfants peints par Greuze, au soir du mir siècle, puis les bambins de Renoir et les petit Poulbots, ou encore les images d'écoliers de la troisième République... Entre ces deux âges d'or, les représentations de l'enfance réalisées durant la première moitié du XIXe siècle semblent moins célèbres : la période en offre pourtant de beaux exemples, aussi innovants que d'une incontestable qualité artistique.
Le demi-siècle qui suit la Révolution française ouvre des débats inédits sur la place de l'enfant dans une société en rapide transformation. Quelles nouvelles représentations de l'enfance les meilleurs artistes de cette époque ont-ils proposées ? Ces images correspondent-elles aux rôles alors assignés aux enfants, aux espoirs dont ils sont porteurs, à la diversité de leurs conditions de vie ? Et aujourd'hui, ces représentations nous paraissent-elles familières ou étranges ? Cet ouvrage reflète le parcours d'une exposition qui débute avec le mythe de l'innocence enfantine, hérité de la philosophie des Lumières, et mène aux réalités âpres de l'enfant-soldat et du travail des enfants.
Il convoque autant les oeuvres de propagande ou d'illustration littéraire que les portraits d'enfants réels, anonymes ou célèbres, peints, sculptés et photographiés. Un dialogue fécond s'instaure en effet entre les arts académiques (peinture et sculpture) et le médium nouveau qu'est alors la photographie, diffusée à partir de 1839. Au croisement de l'histoire sociale et de l'histoire de l'art, la sélection d'oeuvres commentées mâle les grands noms de l'époque - David d'Angers, Géricault, Delacroix, Girodet, Daumier - à des artistes de talent à redécouvrir : Asselineau, Châtillon, Champmartin, Landon, Monanteuil, Suc...
Elle met en valeur la richesse des collections publiques et privées du Grand Ouest français, renforcées par une trentaine de prèts exceptionnels du musée du Louvre.
Le demi-siècle qui suit la Révolution française ouvre des débats inédits sur la place de l'enfant dans une société en rapide transformation. Quelles nouvelles représentations de l'enfance les meilleurs artistes de cette époque ont-ils proposées ? Ces images correspondent-elles aux rôles alors assignés aux enfants, aux espoirs dont ils sont porteurs, à la diversité de leurs conditions de vie ? Et aujourd'hui, ces représentations nous paraissent-elles familières ou étranges ? Cet ouvrage reflète le parcours d'une exposition qui débute avec le mythe de l'innocence enfantine, hérité de la philosophie des Lumières, et mène aux réalités âpres de l'enfant-soldat et du travail des enfants.
Il convoque autant les oeuvres de propagande ou d'illustration littéraire que les portraits d'enfants réels, anonymes ou célèbres, peints, sculptés et photographiés. Un dialogue fécond s'instaure en effet entre les arts académiques (peinture et sculpture) et le médium nouveau qu'est alors la photographie, diffusée à partir de 1839. Au croisement de l'histoire sociale et de l'histoire de l'art, la sélection d'oeuvres commentées mâle les grands noms de l'époque - David d'Angers, Géricault, Delacroix, Girodet, Daumier - à des artistes de talent à redécouvrir : Asselineau, Châtillon, Champmartin, Landon, Monanteuil, Suc...
Elle met en valeur la richesse des collections publiques et privées du Grand Ouest français, renforcées par une trentaine de prèts exceptionnels du musée du Louvre.
Les livres de David Rigoulet-Roze

La République islamique d'Iran en crise systémique. Quatre décennies de tourments
Ata Ayati, David Rigoulet-Roze
Grand Format
29,50 €

Orients stratégiques N° 11/2021
L'Asie et le Moyen-Orient. Quelles relations au XXIe siècle ?
David Rigoulet-Roze
Grand Format
18,00 €

L'histoire des relations entre l'Iran et la France. Du Moyen Age à nos jours
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Grand Format
32,50 €

Orients stratégiques N° 6/2017
La question énergétique dans les Orients
Philippe Charlez, David Rigoulet-Roze
Grand Format
21,50 €

26,00 €

EurOrient N° 40/2013
L'Afghanistan 2014 : retrait ou retraite ?
David Rigoulet-Roze, Ata Ayati
Grand Format
40,50 €

41,50 €

Le Levant face à son destin. Quelles feuilles de route ?
Jacques Fontaine, Fabrice Balanche, David Rigoulet-Roze, Djamshid Assadi
Grand Format
19,00 €

Le devenir nucléaire au Moyen-Orient. Quel arbitrage ?
Bernard Ravenel, Nader Barzin, David Rigoulet-Roze, Mohamed Abdel Azim
16,50 €

34,00 €

33,50 €