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Marc'harit Fulup : la cigale des brumes
« À 38 ans, elle connaissait 200 chants de toutes sortes et 150 contes merveilleux et autres. » F-M. Luzel, (Le juif errant du Trégor).
« Ce n'est plus une femme, c'est la tradition incarnée. » Anatole Le Braz.
« Ô Marc'harit, témoin suprême d'un vieil âge. Avec toi s'est couché, sous l'if au noir feuillage, tout un peuple de dieux, de héros et de saints. » Charles Le Goffic, de l'Académie française.
« Les Bretons ont une étonnante imagination.
Tout ce pays enfante les conceptions fantastiques, élève au surhumain, avec des formes dures, sévères. C'est le XIIIe siècle, encore pur. » E. Renant, de l'Académie française.
Tout ce pays enfante les conceptions fantastiques, élève au surhumain, avec des formes dures, sévères. C'est le XIIIe siècle, encore pur. » E. Renant, de l'Académie française.
« À 38 ans, elle connaissait 200 chants de toutes sortes et 150 contes merveilleux et autres. » F-M. Luzel, (Le juif errant du Trégor).
« Ce n'est plus une femme, c'est la tradition incarnée. » Anatole Le Braz.
« Ô Marc'harit, témoin suprême d'un vieil âge. Avec toi s'est couché, sous l'if au noir feuillage, tout un peuple de dieux, de héros et de saints. » Charles Le Goffic, de l'Académie française.
« Les Bretons ont une étonnante imagination.
Tout ce pays enfante les conceptions fantastiques, élève au surhumain, avec des formes dures, sévères. C'est le XIIIe siècle, encore pur. » E. Renant, de l'Académie française.
Tout ce pays enfante les conceptions fantastiques, élève au surhumain, avec des formes dures, sévères. C'est le XIIIe siècle, encore pur. » E. Renant, de l'Académie française.
