La mine
Grand Format
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La mine
Des femmes, des hommes, un grand immeuble et un ascenseur. Les uns sont là depuis quelques années, d'autres arrivés récemment. Ils ne se connaissent pas ou peu. Une soirée des voisins ? Se rencontrer ? Faire plus ample connaissance ? Pour les uns, une voie plus humaine dans une société cloisonnée, pour d'autres une simple fête. La majorité n'y prête aucune attention. Mais qui organise ? Chacun se sent pris par ses obligations.
On se rapproche, mais tout les sépare. L'ascenseur n'est pas social, il va et vient, dazibao sur câble. On s'y sent à l'étroit, on voudrait éviter la conversation, on échange des banalités forcées, on évite de croiser les regards et pourtant on y devient parfois un peu plus intime, surtout quand l'affichette fait débat : soirée des voisins ! On s'invite. On s'évite. Mais on en parle ! ce qui devient un choc social et culturel qui vire au cauchemar.
On se rapproche, mais tout les sépare. L'ascenseur n'est pas social, il va et vient, dazibao sur câble. On s'y sent à l'étroit, on voudrait éviter la conversation, on échange des banalités forcées, on évite de croiser les regards et pourtant on y devient parfois un peu plus intime, surtout quand l'affichette fait débat : soirée des voisins ! On s'invite. On s'évite. Mais on en parle ! ce qui devient un choc social et culturel qui vire au cauchemar.
Des femmes, des hommes, un grand immeuble et un ascenseur. Les uns sont là depuis quelques années, d'autres arrivés récemment. Ils ne se connaissent pas ou peu. Une soirée des voisins ? Se rencontrer ? Faire plus ample connaissance ? Pour les uns, une voie plus humaine dans une société cloisonnée, pour d'autres une simple fête. La majorité n'y prête aucune attention. Mais qui organise ? Chacun se sent pris par ses obligations.
On se rapproche, mais tout les sépare. L'ascenseur n'est pas social, il va et vient, dazibao sur câble. On s'y sent à l'étroit, on voudrait éviter la conversation, on échange des banalités forcées, on évite de croiser les regards et pourtant on y devient parfois un peu plus intime, surtout quand l'affichette fait débat : soirée des voisins ! On s'invite. On s'évite. Mais on en parle ! ce qui devient un choc social et culturel qui vire au cauchemar.
On se rapproche, mais tout les sépare. L'ascenseur n'est pas social, il va et vient, dazibao sur câble. On s'y sent à l'étroit, on voudrait éviter la conversation, on échange des banalités forcées, on évite de croiser les regards et pourtant on y devient parfois un peu plus intime, surtout quand l'affichette fait débat : soirée des voisins ! On s'invite. On s'évite. Mais on en parle ! ce qui devient un choc social et culturel qui vire au cauchemar.
