Christilla Vasserot

Dernière sortie

Se rappeler pour vivre : Fuck me, Love me, Kill me

Dans Fuck Me, premier volet de son oeuvre autofictionnelle intitulée Recordar para vivir (Se rappeler pour vivre), Marina Otero ausculte la notion de temps qui passe. Elle convoque cinq "sex-symbols" masculins, vêtus uniquement de bottes et de genouillères, qui s'adonnent à un érotisme de cuir et de latex aussi burlesque qu'électrique. Face à eux, Marina Otero raconte sa vie, traversant l'histoire de l'Argentine, de la dictature à ce jour.
Avec Love Me, Marina Otero se livre à un solo des plus périlleux, sans artifice et sans filet. Imaginé avec le metteur en scène et dramaturge Martín Flores Cárdenas, ce spectacle voit la performeuse argentine retrouver le devant de la scène. Assise face au public, elle parle de ses angoisses et de sa violence intérieure. Elle place le corps au centre de son investigation, en évolution permanente. Besoin de danser, amants, séparations : l'autobiographie vient ici éclairer le travail d'un corps dont Marina Otero dit qu'elle a "parfois l'impression qu'il est possédé par un esprit maléfique" ! Kill Me est le troisième volet du projet Recordar para vivir dans lequel Marina Otero se propose de présenter différentes versions de ses oeuvres jusqu'au jour de sa mort.
Elle aborde sans filtre sa crise de la quarantaine, une période où, le coeur à vif, elle commence à filmer 24 heures sur 24 tout ce qu'elle fait, jusqu'au jour où elle s'effondre et où on lui pose un diagnostic psychiatrique. C'est avec cette matière, accompagnée de quatre danseuses atteintes de troubles mentaux et d'un acteur, double de Nijinski, qu'elle élabore une pièce sur la folie amoureuse. Marina Otero veut faire des spectacles pour rester ainsi vivante dans le monde, dans le théâtre.
Dans Fuck Me, premier volet de son oeuvre autofictionnelle intitulée Recordar para vivir (Se rappeler pour vivre), Marina Otero ausculte la notion de temps qui passe. Elle convoque cinq "sex-symbols" masculins, vêtus uniquement de bottes et de genouillères, qui s'adonnent à un érotisme de cuir et de latex aussi burlesque qu'électrique. Face à eux, Marina Otero raconte sa vie, traversant l'histoire de l'Argentine, de la dictature à ce jour.
Avec Love Me, Marina Otero se livre à un solo des plus périlleux, sans artifice et sans filet. Imaginé avec le metteur en scène et dramaturge Martín Flores Cárdenas, ce spectacle voit la performeuse argentine retrouver le devant de la scène. Assise face au public, elle parle de ses angoisses et de sa violence intérieure. Elle place le corps au centre de son investigation, en évolution permanente. Besoin de danser, amants, séparations : l'autobiographie vient ici éclairer le travail d'un corps dont Marina Otero dit qu'elle a "parfois l'impression qu'il est possédé par un esprit maléfique" ! Kill Me est le troisième volet du projet Recordar para vivir dans lequel Marina Otero se propose de présenter différentes versions de ses oeuvres jusqu'au jour de sa mort.
Elle aborde sans filtre sa crise de la quarantaine, une période où, le coeur à vif, elle commence à filmer 24 heures sur 24 tout ce qu'elle fait, jusqu'au jour où elle s'effondre et où on lui pose un diagnostic psychiatrique. C'est avec cette matière, accompagnée de quatre danseuses atteintes de troubles mentaux et d'un acteur, double de Nijinski, qu'elle élabore une pièce sur la folie amoureuse. Marina Otero veut faire des spectacles pour rester ainsi vivante dans le monde, dans le théâtre.

Les livres de Christilla Vasserot

Les yeux perdus
Diego Agrimbau, Juan Manuel Tumburus
Album
18,50 €
Le Président
César Aira
Grand Format
17,00 €
Le tilleul
César Aira
Poche
15,00 €
Prins
César Aira
Grand Format
15,00 €
L'humain
Diego Agrimbau, Lucas Varela
Album
24,50 €
Ecrits 2003-2014
Angélica Liddell
Grand Format
23,00 €