Abraham Zemsz

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Les optiques cohérentes

La vie d'Abraham Zemsz fut toute son ouvre. Tous ceux et celles qui l'ont connu - Marienstras, Proweller, Henri Atlan, André Schwartz-Bart, Levi-Strauss, Kristeva, Greimas, Olivenstein, et tant d'autres - gardent de sa conversation un souvenir ébloui. Sans domicile fixe, sans travail, séjournant dans un recoin du collège de France ou de l'ENS, il parcourait les rues de Paris et conversait des heures durant avec les amis ou des passants pris au hasard, quand il ne remplaçait pas Levi-Strauss, absent, à son séminaire du Collège de France.
Homme de parole, il n'a laissé qu'un seul écrit que nous republions aujourd'hui, consacré, paradoxalement, à l'expression créatrice non verbale et qui fut publié dans la revue d'Esthétique en 1965 puis repris par Greimas dans Communications après sa mort. Né à Moscou en 1917, Abraham Zemsz fut résistant puis soldat dans le bataillon polonais de l'armée britannique. En 1948 il s'engage dans la guerre d'Indépendance d'Israël.
De retour en France, il vit sans domicile fixe et sans travail et subjugue celles et ceux qu'il rencontre par son extraordinaire connaissance. Proche de Levi-Strauss, il le remplacera quelquefois à son séminaire au Collège de France. Il se suicide en 1979, laissant des milliers de lettres et un seul écrit que nous publions.
La vie d'Abraham Zemsz fut toute son ouvre. Tous ceux et celles qui l'ont connu - Marienstras, Proweller, Henri Atlan, André Schwartz-Bart, Levi-Strauss, Kristeva, Greimas, Olivenstein, et tant d'autres - gardent de sa conversation un souvenir ébloui. Sans domicile fixe, sans travail, séjournant dans un recoin du collège de France ou de l'ENS, il parcourait les rues de Paris et conversait des heures durant avec les amis ou des passants pris au hasard, quand il ne remplaçait pas Levi-Strauss, absent, à son séminaire du Collège de France.
Homme de parole, il n'a laissé qu'un seul écrit que nous republions aujourd'hui, consacré, paradoxalement, à l'expression créatrice non verbale et qui fut publié dans la revue d'Esthétique en 1965 puis repris par Greimas dans Communications après sa mort. Né à Moscou en 1917, Abraham Zemsz fut résistant puis soldat dans le bataillon polonais de l'armée britannique. En 1948 il s'engage dans la guerre d'Indépendance d'Israël.
De retour en France, il vit sans domicile fixe et sans travail et subjugue celles et ceux qu'il rencontre par son extraordinaire connaissance. Proche de Levi-Strauss, il le remplacera quelquefois à son séminaire au Collège de France. Il se suicide en 1979, laissant des milliers de lettres et un seul écrit que nous publions.
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