Dernière sortie
Le Corps accordé
Ce livre est issu du croisement de deux approches méconnues du soin par les mains : le reboutage et le seitai. Il présente un parcours personnel de trente années de recherche et de pratique qui ont abouté à la création du yukido
Loin des recettes miraculeuses, le lecteur découvrira une vision de la santé et du soin de soi en accord avec les données de la science.
Les fondateurs du seitai, au Japon, ont mis le doigt sur l'effet thérapeutique des mouvements induits par le système moteur extrapyramidal.
L'involontaire est souvent ignoré ou désigné comme dangereux ; réaliser son potentiel sera pour le lecteur une source inépuisable de réflexion et de créativité. Le symptôme n'est plus ce que l'on subit passivement en attendant la pilule ou la magie qui viendront nous soulager. Il est l'expression même de cette partie indomptée en nous, qui résiste au forçage beaucoup plus qu'à la culture ou même à la domestication. Il ne s'agit pas de médecine ni de thérapie alternative, mais d'un retour à la sensation comme outil pour interroger les compétences du vivant. L'expérience permet à chacun de reconnaître et utiliser au mieux ces bonadies que sont les symptômes bénins.
La pratique du soin yukido est illustrée par de nombreux exemples de suivi d'affections chroniques qui d'ordinaire résistent aux soins interventionnistes. Pour les pathologies graves, le yukido est compatible avec la médicalisation : il améliore la tolérance aux traitements lourds. À une époque où le « corps augmenté » est en passe de devenir la norme de notre espèce, une réhabilitation de l'involontaire signe le retour de l'humain face aux rêves transhumanistes et post-humanistes qui essaient de le régimenter. Les « pratiques du sensible » ont besoin d'une pensée critique, neuve, déstabilisante, qui fait « bouger les lignes ».
Entre pensée sauvage (magique) et pensée savante (érudite), la pensée domestique se nourrit d'une réflexion sur l'usage des mots en rapport avec la santé. S'il est quelque chose à apprivoiser par la pensée domestique, ce n'est pas notre animalité faite de notre intuition, instinct ou inconscient, sans lesquels cette pensée deviendrait stérile - mais bien nos peurs, nos tourments, nos failles. L'ouvrage est accompagné d'une compilation inédite de données sur les origines et l'évolution du seitai au Japon.
Il s'adresse à tous, médecins, patients, thérapeutes, parents, philosophes ou simples explorateurs de sentiers inconnus, sans oublier les danseurs. Praticienne yukido et rebouteux dans le Var, Andréine Bel anime des ateliers de recherche et de formation au yukido. Consulter le site www.yukido.fr
L'involontaire est souvent ignoré ou désigné comme dangereux ; réaliser son potentiel sera pour le lecteur une source inépuisable de réflexion et de créativité. Le symptôme n'est plus ce que l'on subit passivement en attendant la pilule ou la magie qui viendront nous soulager. Il est l'expression même de cette partie indomptée en nous, qui résiste au forçage beaucoup plus qu'à la culture ou même à la domestication. Il ne s'agit pas de médecine ni de thérapie alternative, mais d'un retour à la sensation comme outil pour interroger les compétences du vivant. L'expérience permet à chacun de reconnaître et utiliser au mieux ces bonadies que sont les symptômes bénins.
La pratique du soin yukido est illustrée par de nombreux exemples de suivi d'affections chroniques qui d'ordinaire résistent aux soins interventionnistes. Pour les pathologies graves, le yukido est compatible avec la médicalisation : il améliore la tolérance aux traitements lourds. À une époque où le « corps augmenté » est en passe de devenir la norme de notre espèce, une réhabilitation de l'involontaire signe le retour de l'humain face aux rêves transhumanistes et post-humanistes qui essaient de le régimenter. Les « pratiques du sensible » ont besoin d'une pensée critique, neuve, déstabilisante, qui fait « bouger les lignes ».
Entre pensée sauvage (magique) et pensée savante (érudite), la pensée domestique se nourrit d'une réflexion sur l'usage des mots en rapport avec la santé. S'il est quelque chose à apprivoiser par la pensée domestique, ce n'est pas notre animalité faite de notre intuition, instinct ou inconscient, sans lesquels cette pensée deviendrait stérile - mais bien nos peurs, nos tourments, nos failles. L'ouvrage est accompagné d'une compilation inédite de données sur les origines et l'évolution du seitai au Japon.
Il s'adresse à tous, médecins, patients, thérapeutes, parents, philosophes ou simples explorateurs de sentiers inconnus, sans oublier les danseurs. Praticienne yukido et rebouteux dans le Var, Andréine Bel anime des ateliers de recherche et de formation au yukido. Consulter le site www.yukido.fr
Ce livre est issu du croisement de deux approches méconnues du soin par les mains : le reboutage et le seitai. Il présente un parcours personnel de trente années de recherche et de pratique qui ont abouté à la création du yukido
Loin des recettes miraculeuses, le lecteur découvrira une vision de la santé et du soin de soi en accord avec les données de la science.
Les fondateurs du seitai, au Japon, ont mis le doigt sur l'effet thérapeutique des mouvements induits par le système moteur extrapyramidal.
L'involontaire est souvent ignoré ou désigné comme dangereux ; réaliser son potentiel sera pour le lecteur une source inépuisable de réflexion et de créativité. Le symptôme n'est plus ce que l'on subit passivement en attendant la pilule ou la magie qui viendront nous soulager. Il est l'expression même de cette partie indomptée en nous, qui résiste au forçage beaucoup plus qu'à la culture ou même à la domestication. Il ne s'agit pas de médecine ni de thérapie alternative, mais d'un retour à la sensation comme outil pour interroger les compétences du vivant. L'expérience permet à chacun de reconnaître et utiliser au mieux ces bonadies que sont les symptômes bénins.
La pratique du soin yukido est illustrée par de nombreux exemples de suivi d'affections chroniques qui d'ordinaire résistent aux soins interventionnistes. Pour les pathologies graves, le yukido est compatible avec la médicalisation : il améliore la tolérance aux traitements lourds. À une époque où le « corps augmenté » est en passe de devenir la norme de notre espèce, une réhabilitation de l'involontaire signe le retour de l'humain face aux rêves transhumanistes et post-humanistes qui essaient de le régimenter. Les « pratiques du sensible » ont besoin d'une pensée critique, neuve, déstabilisante, qui fait « bouger les lignes ».
Entre pensée sauvage (magique) et pensée savante (érudite), la pensée domestique se nourrit d'une réflexion sur l'usage des mots en rapport avec la santé. S'il est quelque chose à apprivoiser par la pensée domestique, ce n'est pas notre animalité faite de notre intuition, instinct ou inconscient, sans lesquels cette pensée deviendrait stérile - mais bien nos peurs, nos tourments, nos failles. L'ouvrage est accompagné d'une compilation inédite de données sur les origines et l'évolution du seitai au Japon.
Il s'adresse à tous, médecins, patients, thérapeutes, parents, philosophes ou simples explorateurs de sentiers inconnus, sans oublier les danseurs. Praticienne yukido et rebouteux dans le Var, Andréine Bel anime des ateliers de recherche et de formation au yukido. Consulter le site www.yukido.fr
L'involontaire est souvent ignoré ou désigné comme dangereux ; réaliser son potentiel sera pour le lecteur une source inépuisable de réflexion et de créativité. Le symptôme n'est plus ce que l'on subit passivement en attendant la pilule ou la magie qui viendront nous soulager. Il est l'expression même de cette partie indomptée en nous, qui résiste au forçage beaucoup plus qu'à la culture ou même à la domestication. Il ne s'agit pas de médecine ni de thérapie alternative, mais d'un retour à la sensation comme outil pour interroger les compétences du vivant. L'expérience permet à chacun de reconnaître et utiliser au mieux ces bonadies que sont les symptômes bénins.
La pratique du soin yukido est illustrée par de nombreux exemples de suivi d'affections chroniques qui d'ordinaire résistent aux soins interventionnistes. Pour les pathologies graves, le yukido est compatible avec la médicalisation : il améliore la tolérance aux traitements lourds. À une époque où le « corps augmenté » est en passe de devenir la norme de notre espèce, une réhabilitation de l'involontaire signe le retour de l'humain face aux rêves transhumanistes et post-humanistes qui essaient de le régimenter. Les « pratiques du sensible » ont besoin d'une pensée critique, neuve, déstabilisante, qui fait « bouger les lignes ».
Entre pensée sauvage (magique) et pensée savante (érudite), la pensée domestique se nourrit d'une réflexion sur l'usage des mots en rapport avec la santé. S'il est quelque chose à apprivoiser par la pensée domestique, ce n'est pas notre animalité faite de notre intuition, instinct ou inconscient, sans lesquels cette pensée deviendrait stérile - mais bien nos peurs, nos tourments, nos failles. L'ouvrage est accompagné d'une compilation inédite de données sur les origines et l'évolution du seitai au Japon.
Il s'adresse à tous, médecins, patients, thérapeutes, parents, philosophes ou simples explorateurs de sentiers inconnus, sans oublier les danseurs. Praticienne yukido et rebouteux dans le Var, Andréine Bel anime des ateliers de recherche et de formation au yukido. Consulter le site www.yukido.fr
