Cet ouvrage est la traduction d'un poème narratif, Al-Harraz, porté à la scène par le dramaturge marocain Tayeb Saddiki et sa troupe en 1970 au théâtre municipal de Casablanca. C'est un puissant hommage rendu aux poètes du Malhoun (poésie dialectale chantée, raffinée et populaire).
Initialement, les constantes du poème narratif portent sur le thème du mari qui surveille jalousement sa jeune et belle femme en interdisant obstinément à quiconque de s'en approcher.
Jusqu'au jour où, après moult tentatives, de déguisement en déguisement, un amoureux le trompe, réussit à pénétrer dans sa maison et finit par s'emparer de la belle ardemment désirée.
La mise en scène et la réécriture dramaturgique d'Al-Harraz ouvrent une porte sur l'art et la poésie du Malhoun, toujours déclamée, chantée. Ces poèmes « tissent » la pièce du début à la fin.
Quelle véritable merveille que ce pan de la culture orale ainsi présenté ! Il gagne à être connu au-delà de sa langue d'expression qu'est l'arabe.
Cet ouvrage est la traduction d'un poème narratif, Al-Harraz, porté à la scène par le dramaturge marocain Tayeb Saddiki et sa troupe en 1970 au théâtre municipal de Casablanca. C'est un puissant hommage rendu aux poètes du Malhoun (poésie dialectale chantée, raffinée et populaire).
Initialement, les constantes du poème narratif portent sur le thème du mari qui surveille jalousement sa jeune et belle femme en interdisant obstinément à quiconque de s'en approcher.
Jusqu'au jour où, après moult tentatives, de déguisement en déguisement, un amoureux le trompe, réussit à pénétrer dans sa maison et finit par s'emparer de la belle ardemment désirée.
La mise en scène et la réécriture dramaturgique d'Al-Harraz ouvrent une porte sur l'art et la poésie du Malhoun, toujours déclamée, chantée. Ces poèmes « tissent » la pièce du début à la fin.
Quelle véritable merveille que ce pan de la culture orale ainsi présenté ! Il gagne à être connu au-delà de sa langue d'expression qu'est l'arabe.