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Mustapha Bettache

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Responsabilité sociale des entreprises
Responsabilité sociale des entreprises (RSE) : Un thème de réflexion, de recherche, d'enseignement et une source d'inspiration pour les entreprises soucieuses d'inscrire leurs activités dans la durabilité.
Deux voies proposées :
- Inscrire l'action des entreprises en conformité avec des normes négociées internationalement et rendre les entreprises imputables envers les communautés et les sociétés qui les entourent.
- Prise en compte par les entreprises des intérêts de l'ensemble des " parties prenantes " tout en recherchant une performance au triple plan : économique, social et environnemental. Mais. La responsabilité sociale des entreprises ne serait-elle pas un nouveau mode de gouvernance du capitalisme en quête de légitimité, dans un contexte de contestation de la " mondialisation néolibérale " et de ses répercussions négatives sur le plan tant social (accroissement des inégalités) qu'environnemental (dégradation des conditions environnementales) ? Le rôle de l'État de servir le bien collectif en exerçant son pouvoir d'intervention législative ne serait-il pas antinomique avec un pouvoir " revendiqué " d'autorégulation des grandes entreprises ? Et si. - Les expériences d'économie sociale pouvaient représenter une solution de rechange crédible ? - Une action citoyenne " organisée " pouvait faire face à l'irréversibilité possible de certaines conséquences des actions humaines ? Mirage ou réalité ?
- Prise en compte par les entreprises des intérêts de l'ensemble des " parties prenantes " tout en recherchant une performance au triple plan : économique, social et environnemental. Mais. La responsabilité sociale des entreprises ne serait-elle pas un nouveau mode de gouvernance du capitalisme en quête de légitimité, dans un contexte de contestation de la " mondialisation néolibérale " et de ses répercussions négatives sur le plan tant social (accroissement des inégalités) qu'environnemental (dégradation des conditions environnementales) ? Le rôle de l'État de servir le bien collectif en exerçant son pouvoir d'intervention législative ne serait-il pas antinomique avec un pouvoir " revendiqué " d'autorégulation des grandes entreprises ? Et si. - Les expériences d'économie sociale pouvaient représenter une solution de rechange crédible ? - Une action citoyenne " organisée " pouvait faire face à l'irréversibilité possible de certaines conséquences des actions humaines ? Mirage ou réalité ?
Responsabilité sociale des entreprises (RSE) : Un thème de réflexion, de recherche, d'enseignement et une source d'inspiration pour les entreprises soucieuses d'inscrire leurs activités dans la durabilité.
Deux voies proposées :
- Inscrire l'action des entreprises en conformité avec des normes négociées internationalement et rendre les entreprises imputables envers les communautés et les sociétés qui les entourent.
- Prise en compte par les entreprises des intérêts de l'ensemble des " parties prenantes " tout en recherchant une performance au triple plan : économique, social et environnemental. Mais. La responsabilité sociale des entreprises ne serait-elle pas un nouveau mode de gouvernance du capitalisme en quête de légitimité, dans un contexte de contestation de la " mondialisation néolibérale " et de ses répercussions négatives sur le plan tant social (accroissement des inégalités) qu'environnemental (dégradation des conditions environnementales) ? Le rôle de l'État de servir le bien collectif en exerçant son pouvoir d'intervention législative ne serait-il pas antinomique avec un pouvoir " revendiqué " d'autorégulation des grandes entreprises ? Et si. - Les expériences d'économie sociale pouvaient représenter une solution de rechange crédible ? - Une action citoyenne " organisée " pouvait faire face à l'irréversibilité possible de certaines conséquences des actions humaines ? Mirage ou réalité ?
- Prise en compte par les entreprises des intérêts de l'ensemble des " parties prenantes " tout en recherchant une performance au triple plan : économique, social et environnemental. Mais. La responsabilité sociale des entreprises ne serait-elle pas un nouveau mode de gouvernance du capitalisme en quête de légitimité, dans un contexte de contestation de la " mondialisation néolibérale " et de ses répercussions négatives sur le plan tant social (accroissement des inégalités) qu'environnemental (dégradation des conditions environnementales) ? Le rôle de l'État de servir le bien collectif en exerçant son pouvoir d'intervention législative ne serait-il pas antinomique avec un pouvoir " revendiqué " d'autorégulation des grandes entreprises ? Et si. - Les expériences d'économie sociale pouvaient représenter une solution de rechange crédible ? - Une action citoyenne " organisée " pouvait faire face à l'irréversibilité possible de certaines conséquences des actions humaines ? Mirage ou réalité ?