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Quand l'extrême droite s'empare de l'écologie
Un essai percutant qui montre comment l'extrême droite détourne l'écologie pour nourrir ses idéologies nationalistes et xénophobes.
Dans
Quand l'extrême droite s'empare de l'écologie
(d'abord paru en Italie, chez Enaudi, en 2024), la journaliste italienne Francesca Santolini démonte l'idée reçue selon laquelle l'écologie serait le monopole des progressistes. Elle remonte aux origines du mot " écologie " au XIXe siècle, forgé dans un contexte marqué par des théories hiérarchisant les peuples et les races, qui ont ensuite nourri l'idéologie nazie et son projet d'" écologie raciale ".
En retraçant cette histoire oubliée, l'autrice éclaire les dérives contemporaines : aujourd'hui encore, en Europe comme aux États-Unis, certaines mouvances d'extrême droite recyclent le discours écologique, non pour sauver la planète, mais pour prôner la fermeture des frontières, la peur de l'autre et un projet autoritaire. Un récit rigoureux et nécessaire qui aide à comprendre comment l'écologie peut être instrumentalisée contre l'idée même de progrès et d'humanité.
En retraçant cette histoire oubliée, l'autrice éclaire les dérives contemporaines : aujourd'hui encore, en Europe comme aux États-Unis, certaines mouvances d'extrême droite recyclent le discours écologique, non pour sauver la planète, mais pour prôner la fermeture des frontières, la peur de l'autre et un projet autoritaire. Un récit rigoureux et nécessaire qui aide à comprendre comment l'écologie peut être instrumentalisée contre l'idée même de progrès et d'humanité.
Un essai percutant qui montre comment l'extrême droite détourne l'écologie pour nourrir ses idéologies nationalistes et xénophobes.
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Quand l'extrême droite s'empare de l'écologie
(d'abord paru en Italie, chez Enaudi, en 2024), la journaliste italienne Francesca Santolini démonte l'idée reçue selon laquelle l'écologie serait le monopole des progressistes. Elle remonte aux origines du mot " écologie " au XIXe siècle, forgé dans un contexte marqué par des théories hiérarchisant les peuples et les races, qui ont ensuite nourri l'idéologie nazie et son projet d'" écologie raciale ".
En retraçant cette histoire oubliée, l'autrice éclaire les dérives contemporaines : aujourd'hui encore, en Europe comme aux États-Unis, certaines mouvances d'extrême droite recyclent le discours écologique, non pour sauver la planète, mais pour prôner la fermeture des frontières, la peur de l'autre et un projet autoritaire. Un récit rigoureux et nécessaire qui aide à comprendre comment l'écologie peut être instrumentalisée contre l'idée même de progrès et d'humanité.
En retraçant cette histoire oubliée, l'autrice éclaire les dérives contemporaines : aujourd'hui encore, en Europe comme aux États-Unis, certaines mouvances d'extrême droite recyclent le discours écologique, non pour sauver la planète, mais pour prôner la fermeture des frontières, la peur de l'autre et un projet autoritaire. Un récit rigoureux et nécessaire qui aide à comprendre comment l'écologie peut être instrumentalisée contre l'idée même de progrès et d'humanité.
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