Du plus loin que je puisse redescendre dans les profondeurs de ma mémoire, et Dieu sait si cela fait un sacré bail, j'ai toujours connu cette femme vêtue d'un pantalon à pont bleu marine, d'une marinière en coton sur sa poitrine, et sur ses épaules un caban à boutons dorés. Elle se trimbalait toujours ainsi, elle ne changeait que ses chaussures, soit elle se perchait sur des talons très hauts, soit sur des toutes plates, style ballerines.
Ceci était d'autant plus remarquable que dans ces époques lointaines, la gent féminine portait peu le pantalon, c'était mal vu, connoté. La mode était plus dans le style robe large à fleurs, souliers en semelles de bois et coiffure Yvette Horner... On prend un vif plaisir à suivre Pierre Yborra sur les traces de Danika, de Brest-Litovsk à Lens, puis des grands boulevards parisiens aux rues d'Alger la blanche Eloïse Averty
Du plus loin que je puisse redescendre dans les profondeurs de ma mémoire, et Dieu sait si cela fait un sacré bail, j'ai toujours connu cette femme vêtue d'un pantalon à pont bleu marine, d'une marinière en coton sur sa poitrine, et sur ses épaules un caban à boutons dorés. Elle se trimbalait toujours ainsi, elle ne changeait que ses chaussures, soit elle se perchait sur des talons très hauts, soit sur des toutes plates, style ballerines.
Ceci était d'autant plus remarquable que dans ces époques lointaines, la gent féminine portait peu le pantalon, c'était mal vu, connoté. La mode était plus dans le style robe large à fleurs, souliers en semelles de bois et coiffure Yvette Horner... On prend un vif plaisir à suivre Pierre Yborra sur les traces de Danika, de Brest-Litovsk à Lens, puis des grands boulevards parisiens aux rues d'Alger la blanche Eloïse Averty