« Faire le portrait d'une voix », comme le voulait Marguerite Yourcenar, c'est le projet du
lecteur passionné de la littérature des femmes qu'est Pierre-Éric Villeneuve. Il renouvelle dans
ce livre le genre du panégyrique et de la prose admirative pour mieux comprendre la vie et la
pensée de Pauline Julien. Son interprétation de l'ouvre de la pasionaria nationale s'attache à la dimension littéraire de ses écrits et de ses propos.
Ce livre célèbre la « diseuse », c'est-à-dire celle qui met des mots sur nos réalités, qui les interprète et les magnifie pour mieux traverser la prose de nos jours. La puissante hospitalité de Pauline Julien participe de ce tournant moderne de la société québécoise et nous lègue en partage son immense générosité.
« Faire le portrait d'une voix », comme le voulait Marguerite Yourcenar, c'est le projet du
lecteur passionné de la littérature des femmes qu'est Pierre-Éric Villeneuve. Il renouvelle dans
ce livre le genre du panégyrique et de la prose admirative pour mieux comprendre la vie et la
pensée de Pauline Julien. Son interprétation de l'ouvre de la pasionaria nationale s'attache à la dimension littéraire de ses écrits et de ses propos.
Ce livre célèbre la « diseuse », c'est-à-dire celle qui met des mots sur nos réalités, qui les interprète et les magnifie pour mieux traverser la prose de nos jours. La puissante hospitalité de Pauline Julien participe de ce tournant moderne de la société québécoise et nous lègue en partage son immense générosité.