Avec ce quatrième et dernier tome sur la présence américaine en France pendant la guerre froide, il était temps d’aborder le sujet des employés civils français des bases américaines. Ils ont vécu une expérience professionnelle souvent déterminante dont ils ont généralement conservé un souvenir ému, et même une véritable nostalgie. Nous présentons ensuite les bases aériennes secondaires, telles qu’elles furent élaborées par l’OTAN dans la crainte d’une guerre nucléaire.
Ce concept a fait long feu, en particulier en France, où même les bases principales ont été sous-employées. Cap au Sud ensuite, pour découvrir l’US Navy à Villefranche-sur-Mer, qui fut le port d’attache du navire amiral de la 6e flotte. Enfin, le départ des Américains s’imposait comme chapitre conclusif. Nous avons mis en regard deux départs bien différents : celui, anticipé et préparé, des civils composant les familles de militaires, qu’il aurait fallu évacuer en cas de conflit (programme NEO) ; et celui subi et davantage improvisé, FRELOC, conséquence de l’ultimatum lancé par le président de Gaulle pour une évacuation des bases alliées de France avant le 31 mars 1967.
Avec ce quatrième et dernier tome sur la présence américaine en France pendant la guerre froide, il était temps d’aborder le sujet des employés civils français des bases américaines. Ils ont vécu une expérience professionnelle souvent déterminante dont ils ont généralement conservé un souvenir ému, et même une véritable nostalgie. Nous présentons ensuite les bases aériennes secondaires, telles qu’elles furent élaborées par l’OTAN dans la crainte d’une guerre nucléaire.
Ce concept a fait long feu, en particulier en France, où même les bases principales ont été sous-employées. Cap au Sud ensuite, pour découvrir l’US Navy à Villefranche-sur-Mer, qui fut le port d’attache du navire amiral de la 6e flotte. Enfin, le départ des Américains s’imposait comme chapitre conclusif. Nous avons mis en regard deux départs bien différents : celui, anticipé et préparé, des civils composant les familles de militaires, qu’il aurait fallu évacuer en cas de conflit (programme NEO) ; et celui subi et davantage improvisé, FRELOC, conséquence de l’ultimatum lancé par le président de Gaulle pour une évacuation des bases alliées de France avant le 31 mars 1967.