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Guirlande Jalce

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Structures hospitalières et formation infirmière en Guadeloupe au fil du temps
Le dévouement, l'obéissance des religieuses au chevet du malade ne suffisaient plus. Parmi les médecins, certains qualifiés de révolutionnaires ont milité pour une collaboration avec un personnel paramédical, laïc, efficace et formé. Au fil du temps, en 1902, Emile Combes, président du Conseil, recommande l'obligation de construire une école d'infirmières dans chaque département. A cette époque, la situation sanitaire et sociale de la Guadeloupe est déplorable.
Des maladies contagieuses, sexuellement transmissibles, pullulent, des maisons délabrées, peu de structures de soins, génèrent des conditions d'hygiène déplorables. Tout d'abord comment y faire face, pour assurer la santé et la sécurité de la population guadeloupéenne ? La première école d'infirmières vit le jour au CHU de Pointe-à-Pitre en 1950. L'ouverture d'une seconde suivra en 1966 à Saint-Claude, laquelle n'a pas été pérenne.
Au fil des années le dispositif de formation s'est développé avec la création d'autres écoles et instituts. Ils se modernisent dans la perspective d'offrir aux futurs professionnels un cadre optimum de réussite dans leur processus de professionnalisation. Aujourd'hui, les formations paramédicales quelles qu'elles soient, abordent un tournant décisif. Ainsi pour les étudiants en soins infirmiers, la réforme de la formation de 2009 (système LM D) a permis aux étudiants de bénéficier d'un diplôme d'Etat d'infirmier reconnu au grade de licence.
Lequel leur permettra de poursuivre un parcours en master et en doctorat.
Des maladies contagieuses, sexuellement transmissibles, pullulent, des maisons délabrées, peu de structures de soins, génèrent des conditions d'hygiène déplorables. Tout d'abord comment y faire face, pour assurer la santé et la sécurité de la population guadeloupéenne ? La première école d'infirmières vit le jour au CHU de Pointe-à-Pitre en 1950. L'ouverture d'une seconde suivra en 1966 à Saint-Claude, laquelle n'a pas été pérenne.
Au fil des années le dispositif de formation s'est développé avec la création d'autres écoles et instituts. Ils se modernisent dans la perspective d'offrir aux futurs professionnels un cadre optimum de réussite dans leur processus de professionnalisation. Aujourd'hui, les formations paramédicales quelles qu'elles soient, abordent un tournant décisif. Ainsi pour les étudiants en soins infirmiers, la réforme de la formation de 2009 (système LM D) a permis aux étudiants de bénéficier d'un diplôme d'Etat d'infirmier reconnu au grade de licence.
Lequel leur permettra de poursuivre un parcours en master et en doctorat.
Le dévouement, l'obéissance des religieuses au chevet du malade ne suffisaient plus. Parmi les médecins, certains qualifiés de révolutionnaires ont milité pour une collaboration avec un personnel paramédical, laïc, efficace et formé. Au fil du temps, en 1902, Emile Combes, président du Conseil, recommande l'obligation de construire une école d'infirmières dans chaque département. A cette époque, la situation sanitaire et sociale de la Guadeloupe est déplorable.
Des maladies contagieuses, sexuellement transmissibles, pullulent, des maisons délabrées, peu de structures de soins, génèrent des conditions d'hygiène déplorables. Tout d'abord comment y faire face, pour assurer la santé et la sécurité de la population guadeloupéenne ? La première école d'infirmières vit le jour au CHU de Pointe-à-Pitre en 1950. L'ouverture d'une seconde suivra en 1966 à Saint-Claude, laquelle n'a pas été pérenne.
Au fil des années le dispositif de formation s'est développé avec la création d'autres écoles et instituts. Ils se modernisent dans la perspective d'offrir aux futurs professionnels un cadre optimum de réussite dans leur processus de professionnalisation. Aujourd'hui, les formations paramédicales quelles qu'elles soient, abordent un tournant décisif. Ainsi pour les étudiants en soins infirmiers, la réforme de la formation de 2009 (système LM D) a permis aux étudiants de bénéficier d'un diplôme d'Etat d'infirmier reconnu au grade de licence.
Lequel leur permettra de poursuivre un parcours en master et en doctorat.
Des maladies contagieuses, sexuellement transmissibles, pullulent, des maisons délabrées, peu de structures de soins, génèrent des conditions d'hygiène déplorables. Tout d'abord comment y faire face, pour assurer la santé et la sécurité de la population guadeloupéenne ? La première école d'infirmières vit le jour au CHU de Pointe-à-Pitre en 1950. L'ouverture d'une seconde suivra en 1966 à Saint-Claude, laquelle n'a pas été pérenne.
Au fil des années le dispositif de formation s'est développé avec la création d'autres écoles et instituts. Ils se modernisent dans la perspective d'offrir aux futurs professionnels un cadre optimum de réussite dans leur processus de professionnalisation. Aujourd'hui, les formations paramédicales quelles qu'elles soient, abordent un tournant décisif. Ainsi pour les étudiants en soins infirmiers, la réforme de la formation de 2009 (système LM D) a permis aux étudiants de bénéficier d'un diplôme d'Etat d'infirmier reconnu au grade de licence.
Lequel leur permettra de poursuivre un parcours en master et en doctorat.