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Les frigos ont horreur du vide
C'était d'abord un morceau de doigt, confisqué à des enfants qui jouaient avec au Père-Lachaise. Le reste du corps a rapidement suivi : un morceau de cuisse dans la machine à laver, quelques autres reçus par courrier. Perdue entre ce puzzle macabre et sa thèse qui n'avance pas, Alice va recevoir une mission surprenante de la part d'une inconnue : prendre en filature un charmant jeune homme. Un syndicat de concierges qui espionnent les locataires, un meurtre en pièces détachées, une doctorante qui s'improvise détective privée, un mari qui en sait trop...
Les parisiens ont parfois quelques squelettes dans leurs frigos. Avec ce premier roman aussi hilarant que déchainé, Elise Fugler met en mot son goût de l'absurde par un habile équilibre entre argot et néologismes. Nominé au prix du premier polar SNCF en 1999, Les frigos ont horreur du vide, resté au frais pendant troplongtemps, revient enfin chez Le Morse.
Les parisiens ont parfois quelques squelettes dans leurs frigos. Avec ce premier roman aussi hilarant que déchainé, Elise Fugler met en mot son goût de l'absurde par un habile équilibre entre argot et néologismes. Nominé au prix du premier polar SNCF en 1999, Les frigos ont horreur du vide, resté au frais pendant troplongtemps, revient enfin chez Le Morse.
C'était d'abord un morceau de doigt, confisqué à des enfants qui jouaient avec au Père-Lachaise. Le reste du corps a rapidement suivi : un morceau de cuisse dans la machine à laver, quelques autres reçus par courrier. Perdue entre ce puzzle macabre et sa thèse qui n'avance pas, Alice va recevoir une mission surprenante de la part d'une inconnue : prendre en filature un charmant jeune homme. Un syndicat de concierges qui espionnent les locataires, un meurtre en pièces détachées, une doctorante qui s'improvise détective privée, un mari qui en sait trop...
Les parisiens ont parfois quelques squelettes dans leurs frigos. Avec ce premier roman aussi hilarant que déchainé, Elise Fugler met en mot son goût de l'absurde par un habile équilibre entre argot et néologismes. Nominé au prix du premier polar SNCF en 1999, Les frigos ont horreur du vide, resté au frais pendant troplongtemps, revient enfin chez Le Morse.
Les parisiens ont parfois quelques squelettes dans leurs frigos. Avec ce premier roman aussi hilarant que déchainé, Elise Fugler met en mot son goût de l'absurde par un habile équilibre entre argot et néologismes. Nominé au prix du premier polar SNCF en 1999, Les frigos ont horreur du vide, resté au frais pendant troplongtemps, revient enfin chez Le Morse.
