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Charlene Spretnak

Dernière sortie
Les dimensions spirituelles de la politique écologique
En un mot comme en cent: le texte de Charlene Spretnak vient à son heure pour montrer que l'écologie n'est pas une philosophie sectorielle comme d'aucun se complaisent à le dire, mais bien un appel de racines, un rappel quasi physique à notre propre nature, nous ressouvenir de ce que nous sommes, quel est le but dans la vie, que nous nous inscrivons dans une lignée, et qu'il est illusoire de penser à l'avenir si l'on ne pense pas, d'abord, à ses origines et au cours du temps qui s'accélère dangereusement. Les idéologies, les philosophies, les programmes politiques, tout cela peut se tromper. Avec l'écologie, pas moyen de tricher. C'est elle la dernière frontière. Alors voulons nous vraiment assister à la destruction, de nos mains, de ce qui est juste, vrai et beau et qui nous fait vivre?
Ce livre pose une question: la nécessité de dimensions plus larges. Et l'auteur apporte une réponse, sa réponse. Mais elle ne ferme pas l'éventail des possibles. C'est pourquoi nous avons demandé à diverses personnalités (Roger Berthouzoz, Jacques Grinevald, René Longet, James Lovelock, Sara Parkin, Laurent Rebeaud) de bien vouloir prendre position. La richesse et la diversité des avis exprimés est remarquable. Puisse le débat encore s'élargir et s'épanouir et les politiciens comprendre que les nouveaux défis demandent de nouveaux horizons et cadres de références. Certains l'ont déjà fait. Puissent l'histoire et les générations futures leur donner raison!
En un mot comme en cent: le texte de Charlene Spretnak vient à son heure pour montrer que l'écologie n'est pas une philosophie sectorielle comme d'aucun se complaisent à le dire, mais bien un appel de racines, un rappel quasi physique à notre propre nature, nous ressouvenir de ce que nous sommes, quel est le but dans la vie, que nous nous inscrivons dans une lignée, et qu'il est illusoire de penser à l'avenir si l'on ne pense pas, d'abord, à ses origines et au cours du temps qui s'accélère dangereusement. Les idéologies, les philosophies, les programmes politiques, tout cela peut se tromper. Avec l'écologie, pas moyen de tricher. C'est elle la dernière frontière. Alors voulons nous vraiment assister à la destruction, de nos mains, de ce qui est juste, vrai et beau et qui nous fait vivre?
Ce livre pose une question: la nécessité de dimensions plus larges. Et l'auteur apporte une réponse, sa réponse. Mais elle ne ferme pas l'éventail des possibles. C'est pourquoi nous avons demandé à diverses personnalités (Roger Berthouzoz, Jacques Grinevald, René Longet, James Lovelock, Sara Parkin, Laurent Rebeaud) de bien vouloir prendre position. La richesse et la diversité des avis exprimés est remarquable. Puisse le débat encore s'élargir et s'épanouir et les politiciens comprendre que les nouveaux défis demandent de nouveaux horizons et cadres de références. Certains l'ont déjà fait. Puissent l'histoire et les générations futures leur donner raison!
