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Bonsili annicha Bualankay
Titulaire d'un Master en droit, Annicha Bualankay Bonsili est assistante à la faculté de droit, option droit économique et social, de l'Université de Djuma dans la province de Kwilu en R. D. Congo. Elle est avocate au Barreau près la Cour d'appel de Kinshasa/Matete et Mandataire en Mines et Carrières.
Titulaire d'un Master en droit, Annicha Bualankay Bonsili est assistante à la faculté de droit, option droit économique et social, de l'Université de Djuma dans la province de Kwilu en R. D. Congo. Elle est avocate au Barreau près la Cour d'appel de Kinshasa/Matete et Mandataire en Mines et Carrières.

Dernière sortie
La convention sino-congolaise
La République Démocratique du Congo est confrontée à des défis énormes : aggravation de la pauvreté, sous-développement dus notamment au manque d'infrastructures de transport, d'équipement... L'auteure dresse un bilan sur la coopération asymétrique entre la R. D. Congo et un groupe d'entreprises chinoises en décelant les faiblesses dans la contractualisation des relations d'a?aires entre les deux parties.
Elle s'interroge sur le modèle de ?nancement des infrastructures du développement qui serait pro?table à la République Démocratique du Congo. En e?et, la Convention sino-congolaise a fait l'objet de controverses sur le déséquilibre des rapports entre les parties, car la partie chinoise a plus gagné que l'Etat congolais. Et pourtant, ce partenariat novateur, inspiré des conventions de partenariat public-privé, était censé répondre à l'insuffisance des financements traditionnels pour le développement du pays.
L'ouvrage éclaire sur les conditions de conclusion de ce contrat jugé défavorable à la partie congolaise. L'auteure propose de repartir sur une base assainie à la suite de la renégociation de la Convention, afin de rétablir l'équilibre.
Elle s'interroge sur le modèle de ?nancement des infrastructures du développement qui serait pro?table à la République Démocratique du Congo. En e?et, la Convention sino-congolaise a fait l'objet de controverses sur le déséquilibre des rapports entre les parties, car la partie chinoise a plus gagné que l'Etat congolais. Et pourtant, ce partenariat novateur, inspiré des conventions de partenariat public-privé, était censé répondre à l'insuffisance des financements traditionnels pour le développement du pays.
L'ouvrage éclaire sur les conditions de conclusion de ce contrat jugé défavorable à la partie congolaise. L'auteure propose de repartir sur une base assainie à la suite de la renégociation de la Convention, afin de rétablir l'équilibre.
La République Démocratique du Congo est confrontée à des défis énormes : aggravation de la pauvreté, sous-développement dus notamment au manque d'infrastructures de transport, d'équipement... L'auteure dresse un bilan sur la coopération asymétrique entre la R. D. Congo et un groupe d'entreprises chinoises en décelant les faiblesses dans la contractualisation des relations d'a?aires entre les deux parties.
Elle s'interroge sur le modèle de ?nancement des infrastructures du développement qui serait pro?table à la République Démocratique du Congo. En e?et, la Convention sino-congolaise a fait l'objet de controverses sur le déséquilibre des rapports entre les parties, car la partie chinoise a plus gagné que l'Etat congolais. Et pourtant, ce partenariat novateur, inspiré des conventions de partenariat public-privé, était censé répondre à l'insuffisance des financements traditionnels pour le développement du pays.
L'ouvrage éclaire sur les conditions de conclusion de ce contrat jugé défavorable à la partie congolaise. L'auteure propose de repartir sur une base assainie à la suite de la renégociation de la Convention, afin de rétablir l'équilibre.
Elle s'interroge sur le modèle de ?nancement des infrastructures du développement qui serait pro?table à la République Démocratique du Congo. En e?et, la Convention sino-congolaise a fait l'objet de controverses sur le déséquilibre des rapports entre les parties, car la partie chinoise a plus gagné que l'Etat congolais. Et pourtant, ce partenariat novateur, inspiré des conventions de partenariat public-privé, était censé répondre à l'insuffisance des financements traditionnels pour le développement du pays.
L'ouvrage éclaire sur les conditions de conclusion de ce contrat jugé défavorable à la partie congolaise. L'auteure propose de repartir sur une base assainie à la suite de la renégociation de la Convention, afin de rétablir l'équilibre.