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L'Epopée des Arméniens et des marins du Musa Dagh / Ras El Mina
En juillet 1915, des villageois arméniens résistent aux ordres de déportation des autorités turques et échappent à l'extermination : réfugiés sur le Musa Dagh, ils parviennent à contenir les assauts des troupes turques cinquante-trois jours durant. A court de munitions et de vivres, ils devront leur salut à la marine française : du 5 au 14 septembre 1915, la 3e escadre de Méditerranée évacue plus de 4000 Arméniens depuis la plage du Ras el-Mina située au pied du Musa Dagh.
" Mon Grand-père maternel, Jean le Mée, écrit l'auteur, avait 23 ans à cette époque. Il était enseigne de vaisseau sur le croiseur Desaix, affecté à la compagnie de débarquement. J'ai retrouvé son carnet d'officier ainsi que son album de plus de 200 photos datées et légendées de sa main... " Voici l'une des pages les plus dramatiques de l'histoire de la Première Guerre mondiale, à l'aune du parcours très documenté d'un marin breton " mort pour la France " et des liens toujours vivaces de l'amitié franco-arménienne.
" Mon Grand-père maternel, Jean le Mée, écrit l'auteur, avait 23 ans à cette époque. Il était enseigne de vaisseau sur le croiseur Desaix, affecté à la compagnie de débarquement. J'ai retrouvé son carnet d'officier ainsi que son album de plus de 200 photos datées et légendées de sa main... " Voici l'une des pages les plus dramatiques de l'histoire de la Première Guerre mondiale, à l'aune du parcours très documenté d'un marin breton " mort pour la France " et des liens toujours vivaces de l'amitié franco-arménienne.
En juillet 1915, des villageois arméniens résistent aux ordres de déportation des autorités turques et échappent à l'extermination : réfugiés sur le Musa Dagh, ils parviennent à contenir les assauts des troupes turques cinquante-trois jours durant. A court de munitions et de vivres, ils devront leur salut à la marine française : du 5 au 14 septembre 1915, la 3e escadre de Méditerranée évacue plus de 4000 Arméniens depuis la plage du Ras el-Mina située au pied du Musa Dagh.
" Mon Grand-père maternel, Jean le Mée, écrit l'auteur, avait 23 ans à cette époque. Il était enseigne de vaisseau sur le croiseur Desaix, affecté à la compagnie de débarquement. J'ai retrouvé son carnet d'officier ainsi que son album de plus de 200 photos datées et légendées de sa main... " Voici l'une des pages les plus dramatiques de l'histoire de la Première Guerre mondiale, à l'aune du parcours très documenté d'un marin breton " mort pour la France " et des liens toujours vivaces de l'amitié franco-arménienne.
" Mon Grand-père maternel, Jean le Mée, écrit l'auteur, avait 23 ans à cette époque. Il était enseigne de vaisseau sur le croiseur Desaix, affecté à la compagnie de débarquement. J'ai retrouvé son carnet d'officier ainsi que son album de plus de 200 photos datées et légendées de sa main... " Voici l'une des pages les plus dramatiques de l'histoire de la Première Guerre mondiale, à l'aune du parcours très documenté d'un marin breton " mort pour la France " et des liens toujours vivaces de l'amitié franco-arménienne.
