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Etienne Hatt

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Vitrines
Initiée en 2008, la série Vitrines a été réalisée à Paris lors de la crise économique qui a provoqué la fermeture de nombreux commerces. Photographiées depuis la rue, les devantures recouvertes de blanc d'Espagne ne permettent plus de voir l'intérieur des magasins et font rebondir le regard vers la forme abstraite de la peinture et le reflet de l'environnement urbain se déposant en sa surface. Trait d'union entre le dedans et le dehors, ces images interrogent ainsi la frontière entre photographie et peinture, figuration et abstraction, document et trompe-l'oeil.
Tirées en grand format, l'échelle des photographies permet deux visions au spectateur : la possibilité de se trouver enveloppé et immergé dans l'image ou d'apprécier, à distance, une forme tableau. Dans le contexte d'un paysage urbain en perpétuelle transformation, ces vitrines incarnent ainsi un espace liminaire et transitoire. De la transparence à l'opacité, la surface du verre devient ici le lieu d'inscription d'une histoire et le support d'un geste utile et plastique.
Ici, entre deux usages du commerce et à l'intérieur du cadre de la vitrine, un anonyme s'est fait peintre pour condamner une vision et en proposer une autre.
Tirées en grand format, l'échelle des photographies permet deux visions au spectateur : la possibilité de se trouver enveloppé et immergé dans l'image ou d'apprécier, à distance, une forme tableau. Dans le contexte d'un paysage urbain en perpétuelle transformation, ces vitrines incarnent ainsi un espace liminaire et transitoire. De la transparence à l'opacité, la surface du verre devient ici le lieu d'inscription d'une histoire et le support d'un geste utile et plastique.
Ici, entre deux usages du commerce et à l'intérieur du cadre de la vitrine, un anonyme s'est fait peintre pour condamner une vision et en proposer une autre.
Initiée en 2008, la série Vitrines a été réalisée à Paris lors de la crise économique qui a provoqué la fermeture de nombreux commerces. Photographiées depuis la rue, les devantures recouvertes de blanc d'Espagne ne permettent plus de voir l'intérieur des magasins et font rebondir le regard vers la forme abstraite de la peinture et le reflet de l'environnement urbain se déposant en sa surface. Trait d'union entre le dedans et le dehors, ces images interrogent ainsi la frontière entre photographie et peinture, figuration et abstraction, document et trompe-l'oeil.
Tirées en grand format, l'échelle des photographies permet deux visions au spectateur : la possibilité de se trouver enveloppé et immergé dans l'image ou d'apprécier, à distance, une forme tableau. Dans le contexte d'un paysage urbain en perpétuelle transformation, ces vitrines incarnent ainsi un espace liminaire et transitoire. De la transparence à l'opacité, la surface du verre devient ici le lieu d'inscription d'une histoire et le support d'un geste utile et plastique.
Ici, entre deux usages du commerce et à l'intérieur du cadre de la vitrine, un anonyme s'est fait peintre pour condamner une vision et en proposer une autre.
Tirées en grand format, l'échelle des photographies permet deux visions au spectateur : la possibilité de se trouver enveloppé et immergé dans l'image ou d'apprécier, à distance, une forme tableau. Dans le contexte d'un paysage urbain en perpétuelle transformation, ces vitrines incarnent ainsi un espace liminaire et transitoire. De la transparence à l'opacité, la surface du verre devient ici le lieu d'inscription d'une histoire et le support d'un geste utile et plastique.
Ici, entre deux usages du commerce et à l'intérieur du cadre de la vitrine, un anonyme s'est fait peintre pour condamner une vision et en proposer une autre.
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