Dernière sortie
Dr. Murder et l'île de la mort
Retranché dans son repaire volcanique à un milliard de dollars, Dr Murder, en pleine crise de la quarantaine, se morfond. Rien ne marche, de ses projets à ses finances, en passant par ses relations avec Johnny America, son ennemi juré attitré. Même ses hommes de main sont en grève⦠Un gala des anciens de l'école où il a appris son métier de super-vilain est l'occasion de faire un bilan. Est-il le terrifiant génie du mal qu'il pense être ? A-t-il mal vieilli ? Lady Anya l'aime-t-elle encore ? L'auteur danois Emil Friis Ernst, remarqué par la critique - dont The Comics Journal -, fait partie d'une génération ayant su fusionner de multiples références.
Avec ici une palette de couleurs quasi psychédélique, beaucoup de dérision et un soupçon de spleen existentialiste, il rend ici un bel hommage aux comics, vintage et parodique, nourri de clins d'Åil à la pop culture, aux petits formats, aux JamesBonderies et aux séries B.
Avec ici une palette de couleurs quasi psychédélique, beaucoup de dérision et un soupçon de spleen existentialiste, il rend ici un bel hommage aux comics, vintage et parodique, nourri de clins d'Åil à la pop culture, aux petits formats, aux JamesBonderies et aux séries B.
Retranché dans son repaire volcanique à un milliard de dollars, Dr Murder, en pleine crise de la quarantaine, se morfond. Rien ne marche, de ses projets à ses finances, en passant par ses relations avec Johnny America, son ennemi juré attitré. Même ses hommes de main sont en grève⦠Un gala des anciens de l'école où il a appris son métier de super-vilain est l'occasion de faire un bilan. Est-il le terrifiant génie du mal qu'il pense être ? A-t-il mal vieilli ? Lady Anya l'aime-t-elle encore ? L'auteur danois Emil Friis Ernst, remarqué par la critique - dont The Comics Journal -, fait partie d'une génération ayant su fusionner de multiples références.
Avec ici une palette de couleurs quasi psychédélique, beaucoup de dérision et un soupçon de spleen existentialiste, il rend ici un bel hommage aux comics, vintage et parodique, nourri de clins d'Åil à la pop culture, aux petits formats, aux JamesBonderies et aux séries B.
Avec ici une palette de couleurs quasi psychédélique, beaucoup de dérision et un soupçon de spleen existentialiste, il rend ici un bel hommage aux comics, vintage et parodique, nourri de clins d'Åil à la pop culture, aux petits formats, aux JamesBonderies et aux séries B.
