Dans "Saint-Just-roman", Véronique Bergen fait parler de façon polyphonique les voix de la Révolution française, celles des révolutionnaires, de Saint-Just aux Enragés, de Robespierre à Marat, de Hébert à Danton, de Camille et Lucile Desmoulins aux sans-culottes, mais aussi celles des contre-révolutionnaires, des royalistes ou encore des Moires, des chevaux, de Brount, le chien de Robespierre. Sa fiction s'articule autour de la figure complexe de Saint-Just qui se voit allégée des clichés qui la recouvrent.
S'emparant d'un événement capital de l'Histoire, de la césure 1789 et de la Terreur, elle questionne le désir de révolution, ses devenirs, ce qui l'interrompt. Elle remet le corps de l'Histoire en mouvement et interroge le lien entre mémoire des insurrections passées et lever des soulèvements actuels.
Dans "Saint-Just-roman", Véronique Bergen fait parler de façon polyphonique les voix de la Révolution française, celles des révolutionnaires, de Saint-Just aux Enragés, de Robespierre à Marat, de Hébert à Danton, de Camille et Lucile Desmoulins aux sans-culottes, mais aussi celles des contre-révolutionnaires, des royalistes ou encore des Moires, des chevaux, de Brount, le chien de Robespierre. Sa fiction s'articule autour de la figure complexe de Saint-Just qui se voit allégée des clichés qui la recouvrent.
S'emparant d'un événement capital de l'Histoire, de la césure 1789 et de la Terreur, elle questionne le désir de révolution, ses devenirs, ce qui l'interrompt. Elle remet le corps de l'Histoire en mouvement et interroge le lien entre mémoire des insurrections passées et lever des soulèvements actuels.