Emilien Diard-Detoeuf

Diplômé du Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique (promotion 2006). Formation au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique sous la direction de Nada Strancar (promotion 2014). Il a joué notamment sous la direction de Sophie Guibard (Vanghel, Jacques Jouet), Léo Cohen-Paperman (Le Crocodile d'après Dostoïevski, Génération Mitterrand), Benjamin Porée (Platonov, Tchekhov), Julie Bertin et Jade Herbulot (Berliner Mauer : Vestiges), Olivier Py (Le Roi Lear, de Shakespeare, en 2015, Le Cahier Noir et Les Parisiens d'Olivier Py en 2017), Clément Poirée (Vie et Mort de H, de Hanokh Levin en 2017), Nicolas Liautard (La Cerisaie, d'Anton Tchekhov), Lazare Herson-Macarel (Galilée et Les Misérables). De 2009 à 2014, il a mis en scène Le Tribunal de Vladimir Voïnovitch, La Sirène de Pouchkine, La plus forte de Strindberg, La Gelée d'Arbre de Hervé Blutsch, ainsi que plusieurs cabarets dans des lieux alternatifs de Paris. De 2015 à 2021, Emilien Diard-Detoeuf co-dirige avec Sophie Guibard le Théâtre derrière le Monde, compagnie avec laquelle ils créent L'Eloge de la Folie, d'après Erasme, en 2017, et La Chartreuse de Parme ou Se foutre carrément de tout d'après Stendhal en 2018. Au cinéma, il a joué dans les films de Florence Quentin (Bonne Pomme, 2017), Pierre Schoeller (Un peuple et son roi, 2018) , Lou Jeunet (Curiosa, 2018). A la télévision, il joue dans Le Bureau des légendes, d'Eric Rochant (saison 5, 2020), et Oussekine, d'Antoine Chevrollier (2021).
Diplômé du Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique (promotion 2006). Formation au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique sous la direction de Nada Strancar (promotion 2014). Il a joué notamment sous la direction de Sophie Guibard (Vanghel, Jacques Jouet), Léo Cohen-Paperman (Le Crocodile d'après Dostoïevski, Génération Mitterrand), Benjamin Porée (Platonov, Tchekhov), Julie Bertin et Jade Herbulot (Berliner Mauer : Vestiges), Olivier Py (Le Roi Lear, de Shakespeare, en 2015, Le Cahier Noir et Les Parisiens d'Olivier Py en 2017), Clément Poirée (Vie et Mort de H, de Hanokh Levin en 2017), Nicolas Liautard (La Cerisaie, d'Anton Tchekhov), Lazare Herson-Macarel (Galilée et Les Misérables). De 2009 à 2014, il a mis en scène Le Tribunal de Vladimir Voïnovitch, La Sirène de Pouchkine, La plus forte de Strindberg, La Gelée d'Arbre de Hervé Blutsch, ainsi que plusieurs cabarets dans des lieux alternatifs de Paris. De 2015 à 2021, Emilien Diard-Detoeuf co-dirige avec Sophie Guibard le Théâtre derrière le Monde, compagnie avec laquelle ils créent L'Eloge de la Folie, d'après Erasme, en 2017, et La Chartreuse de Parme ou Se foutre carrément de tout d'après Stendhal en 2018. Au cinéma, il a joué dans les films de Florence Quentin (Bonne Pomme, 2017), Pierre Schoeller (Un peuple et son roi, 2018) , Lou Jeunet (Curiosa, 2018). A la télévision, il joue dans Le Bureau des légendes, d'Eric Rochant (saison 5, 2020), et Oussekine, d'Antoine Chevrollier (2021).
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Génération Mitterrand

Ecrire un spectacle sur François Mitterrand, c'est écrire un spectacle sur la génération de mes parents, nés après la Seconde Guerre Mondiale, révolutionnaires en 1968 et convaincus, au soir du 10 mai 1981, que l'élection d'un Président socialiste allait "changer la vie". Paradoxe étrange : c'est à un homme issu de la bourgeoisie catholique, usé par la IVe République et sali par la Guerre d'Algérie que la "génération 68" a confié la charge de réaliser ses idéaux libertaires, égalitaires et décentralisateurs.
Génération Mitterrand, autopsie tragi-comique des utopies d'une génération, raconte le destin de trois personnages nés en 1950 et qui ont voté Mitterrand en 1981 : Marie-France, journaliste à Paris ; Luc, professeur à Vénissieux ; Michel, ouvrier à Belfort. Avec le récit de leurs espérances et de leurs désillusions, c'est d'abord un portrait du peuple de gauche que nous voulons écrire. Ils incarneront tour à tour leur Président et ce qu'ils comprennent, ou sentent, de ses promesses, de ses trahisons, de ses échecs, de ses réussites.
Celui qui fut le héraut de la gauche a fini par symboliser ses renoncements. Après deux ans de tentatives volontaristes, François Mitterrand fait en effet le choix d'une politique de rigueur plus conforme à ce qu'attendent les marchés financiers. Qu'est-ce qui a conduit François Mitterrand à prendre ce chemin, renonçant de fait aux espérances qu'il avait porté pendant sa campagne présidentielle ? Et malgré tout, comment cet homme a-t-il réussi à trouver une place unique dans le coeur des Français et dans l'Histoire de la Ve République, une place qui fait de lui "le dernier des grands présidents" ? Léo Cohen-Paperman Pièces écrites pour 2 comédiens et 1 comédienne
Ecrire un spectacle sur François Mitterrand, c'est écrire un spectacle sur la génération de mes parents, nés après la Seconde Guerre Mondiale, révolutionnaires en 1968 et convaincus, au soir du 10 mai 1981, que l'élection d'un Président socialiste allait "changer la vie". Paradoxe étrange : c'est à un homme issu de la bourgeoisie catholique, usé par la IVe République et sali par la Guerre d'Algérie que la "génération 68" a confié la charge de réaliser ses idéaux libertaires, égalitaires et décentralisateurs.
Génération Mitterrand, autopsie tragi-comique des utopies d'une génération, raconte le destin de trois personnages nés en 1950 et qui ont voté Mitterrand en 1981 : Marie-France, journaliste à Paris ; Luc, professeur à Vénissieux ; Michel, ouvrier à Belfort. Avec le récit de leurs espérances et de leurs désillusions, c'est d'abord un portrait du peuple de gauche que nous voulons écrire. Ils incarneront tour à tour leur Président et ce qu'ils comprennent, ou sentent, de ses promesses, de ses trahisons, de ses échecs, de ses réussites.
Celui qui fut le héraut de la gauche a fini par symboliser ses renoncements. Après deux ans de tentatives volontaristes, François Mitterrand fait en effet le choix d'une politique de rigueur plus conforme à ce qu'attendent les marchés financiers. Qu'est-ce qui a conduit François Mitterrand à prendre ce chemin, renonçant de fait aux espérances qu'il avait porté pendant sa campagne présidentielle ? Et malgré tout, comment cet homme a-t-il réussi à trouver une place unique dans le coeur des Français et dans l'Histoire de la Ve République, une place qui fait de lui "le dernier des grands présidents" ? Léo Cohen-Paperman Pièces écrites pour 2 comédiens et 1 comédienne

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