Vers le ciel
Grand Format
13,90 €
Dernière sortie
Vers le ciel
Je rêve que je rejoins la voûte céleste, Et que je me promène à travers les nuages. Mon envie de voler m'envahit ; elle me reste. M'élever soudain, aérienne et sauvage. Elever mon esprit, puisque je n'ai pas d'ailes, Que seuls les oiseaux peuvent rejoindre le ciel. Je sens depuis le sol que la magie me gagne. Mon âme survole sans mal les monts et les montagnes. Je voudrais les entendre, les chanteurs d'autrefois.
Ils berçaient mon enfance et me comblaient de joie. Je voudrais les entendre, ces auteurs disparus, Dont les textes magiques transcendaient les nues. Des musiciens prodiges ne jouaient que pour moi Des mélodies superbes et des airs d'autrefois. Ils me rappelleraient que, de leurs partitions, Naissaient quelquefois des concertos vagabonds.
Ils berçaient mon enfance et me comblaient de joie. Je voudrais les entendre, ces auteurs disparus, Dont les textes magiques transcendaient les nues. Des musiciens prodiges ne jouaient que pour moi Des mélodies superbes et des airs d'autrefois. Ils me rappelleraient que, de leurs partitions, Naissaient quelquefois des concertos vagabonds.
Je rêve que je rejoins la voûte céleste, Et que je me promène à travers les nuages. Mon envie de voler m'envahit ; elle me reste. M'élever soudain, aérienne et sauvage. Elever mon esprit, puisque je n'ai pas d'ailes, Que seuls les oiseaux peuvent rejoindre le ciel. Je sens depuis le sol que la magie me gagne. Mon âme survole sans mal les monts et les montagnes. Je voudrais les entendre, les chanteurs d'autrefois.
Ils berçaient mon enfance et me comblaient de joie. Je voudrais les entendre, ces auteurs disparus, Dont les textes magiques transcendaient les nues. Des musiciens prodiges ne jouaient que pour moi Des mélodies superbes et des airs d'autrefois. Ils me rappelleraient que, de leurs partitions, Naissaient quelquefois des concertos vagabonds.
Ils berçaient mon enfance et me comblaient de joie. Je voudrais les entendre, ces auteurs disparus, Dont les textes magiques transcendaient les nues. Des musiciens prodiges ne jouaient que pour moi Des mélodies superbes et des airs d'autrefois. Ils me rappelleraient que, de leurs partitions, Naissaient quelquefois des concertos vagabonds.
