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Violences dans le travail
L'auteur a passé trois décennies dans les services de l'inspection du travail. Depuis son poste d'observation en qualité de contrôleur du travail, il lui a été donné d'observer avec acuité le fonctionnement de notre économie et de notre société, le capitalisme réel en quelque sorte, très différent de celui de la théorie. Tant qu'il a été sur le terrain, il a été été tenu par une obligation de réserve tout à fait légitime et par la nécessité de protéger ses sources ; elles étaient plurielles et contrairement aux idées reçues ne reposaient pas exclusivement sur les informations données par les salariés.
L'auteur a constitué un fonds de souvenirs, toutes sortes de souvenirs, car il avait conscience d'être au cour d'une fournaise qui devait être objectivée.
La violence serait-elle le moteur de notre économie ? Cette violence, il semblerait que nulle institution étatique ne cherche à la dominer, à la contraindre et à la refouler. Le monde du travail, ce monde créateur de richesses et de valeurs d'usage, ne pourrait-il fonctionner que d'une façon totalement pathologique ?
La violence serait-elle le moteur de notre économie ? Cette violence, il semblerait que nulle institution étatique ne cherche à la dominer, à la contraindre et à la refouler. Le monde du travail, ce monde créateur de richesses et de valeurs d'usage, ne pourrait-il fonctionner que d'une façon totalement pathologique ?
L'auteur a passé trois décennies dans les services de l'inspection du travail. Depuis son poste d'observation en qualité de contrôleur du travail, il lui a été donné d'observer avec acuité le fonctionnement de notre économie et de notre société, le capitalisme réel en quelque sorte, très différent de celui de la théorie. Tant qu'il a été sur le terrain, il a été été tenu par une obligation de réserve tout à fait légitime et par la nécessité de protéger ses sources ; elles étaient plurielles et contrairement aux idées reçues ne reposaient pas exclusivement sur les informations données par les salariés.
L'auteur a constitué un fonds de souvenirs, toutes sortes de souvenirs, car il avait conscience d'être au cour d'une fournaise qui devait être objectivée.
La violence serait-elle le moteur de notre économie ? Cette violence, il semblerait que nulle institution étatique ne cherche à la dominer, à la contraindre et à la refouler. Le monde du travail, ce monde créateur de richesses et de valeurs d'usage, ne pourrait-il fonctionner que d'une façon totalement pathologique ?
La violence serait-elle le moteur de notre économie ? Cette violence, il semblerait que nulle institution étatique ne cherche à la dominer, à la contraindre et à la refouler. Le monde du travail, ce monde créateur de richesses et de valeurs d'usage, ne pourrait-il fonctionner que d'une façon totalement pathologique ?
Les livres de Théophile Dumoustier