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Maurin Picard

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Katanga !
Une guerre oubliée, mais particulièrement sanglante (1961-1962).
Septembre 1961. Dans une province sécessionniste de l'ex-Congo belge, le Katanga, paradis géologique riche en cuivre et en uranium, un régime minier pro-occidental défie l'ONU et ses casques bleus. Le conflit qui éclate oppose " soldats de la paix " et mercenaires endurcis. Surprise : il s'agit d'ex-officiers d'élite de l'armée française, des " durs " capables de lancer leurs groupes mobiles contre un adversaire dix fois supérieur en nombre.
Il s'avère que, loin d'être " perdus ", cette poignée d'hommes se trouvent en mission commandée, sur ordre du gouvernement français, en particulier de la " cellule des Affaires africaines et malgaches " de l'Élysée dirigée par Jacques Foccart. Ils infligèrent à l'ONU et ses 16 000 hommes une défaite militaire retentissante, s'appuyant sur des méthodes de guérilla et de contre-guérilla éprouvées en Indochine et en Algérie, avant de battre en retraite sur ordre.
Loin d'être une simple escapade de mercenaires, le projet visait à étendre le pré carré de la France, se tailler une part du gâteau de l'ex-Congo belge, contrer la pénétration soviétique et coiffer sur le poteau les Anglo-Saxons pour l'exploitation des ressources minières stratégiques, tout en présentant le Katanga comme un poste avancé de la lutte anticommuniste mondiale.
Il s'avère que, loin d'être " perdus ", cette poignée d'hommes se trouvent en mission commandée, sur ordre du gouvernement français, en particulier de la " cellule des Affaires africaines et malgaches " de l'Élysée dirigée par Jacques Foccart. Ils infligèrent à l'ONU et ses 16 000 hommes une défaite militaire retentissante, s'appuyant sur des méthodes de guérilla et de contre-guérilla éprouvées en Indochine et en Algérie, avant de battre en retraite sur ordre.
Loin d'être une simple escapade de mercenaires, le projet visait à étendre le pré carré de la France, se tailler une part du gâteau de l'ex-Congo belge, contrer la pénétration soviétique et coiffer sur le poteau les Anglo-Saxons pour l'exploitation des ressources minières stratégiques, tout en présentant le Katanga comme un poste avancé de la lutte anticommuniste mondiale.
Une guerre oubliée, mais particulièrement sanglante (1961-1962).
Septembre 1961. Dans une province sécessionniste de l'ex-Congo belge, le Katanga, paradis géologique riche en cuivre et en uranium, un régime minier pro-occidental défie l'ONU et ses casques bleus. Le conflit qui éclate oppose " soldats de la paix " et mercenaires endurcis. Surprise : il s'agit d'ex-officiers d'élite de l'armée française, des " durs " capables de lancer leurs groupes mobiles contre un adversaire dix fois supérieur en nombre.
Il s'avère que, loin d'être " perdus ", cette poignée d'hommes se trouvent en mission commandée, sur ordre du gouvernement français, en particulier de la " cellule des Affaires africaines et malgaches " de l'Élysée dirigée par Jacques Foccart. Ils infligèrent à l'ONU et ses 16 000 hommes une défaite militaire retentissante, s'appuyant sur des méthodes de guérilla et de contre-guérilla éprouvées en Indochine et en Algérie, avant de battre en retraite sur ordre.
Loin d'être une simple escapade de mercenaires, le projet visait à étendre le pré carré de la France, se tailler une part du gâteau de l'ex-Congo belge, contrer la pénétration soviétique et coiffer sur le poteau les Anglo-Saxons pour l'exploitation des ressources minières stratégiques, tout en présentant le Katanga comme un poste avancé de la lutte anticommuniste mondiale.
Il s'avère que, loin d'être " perdus ", cette poignée d'hommes se trouvent en mission commandée, sur ordre du gouvernement français, en particulier de la " cellule des Affaires africaines et malgaches " de l'Élysée dirigée par Jacques Foccart. Ils infligèrent à l'ONU et ses 16 000 hommes une défaite militaire retentissante, s'appuyant sur des méthodes de guérilla et de contre-guérilla éprouvées en Indochine et en Algérie, avant de battre en retraite sur ordre.
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