Véritables "scènes de la vie de province", au sens balzacien, Les causes perdues (que Violet Trefusis écrivit directement en français) ont pour décor le Faubourg Saint-Honoré, et surtout le Poitiers de l'entre-deux-guerres. La petite noblesse de campagne et les domestiques fidèles, les vieux beaux fortunés, et les jeunes filles délaissées, y jouent de leur pouvoir de domination sur les plus faibles qu'eux, lesquels, à leur tour, savent fort bien, par leurs charmes secrets, se protéger et se défendre.
Mais, derrière ces liaisons dangereuses, se profilent parfois de sombres desseins.
Véritables "scènes de la vie de province", au sens balzacien, Les causes perdues (que Violet Trefusis écrivit directement en français) ont pour décor le Faubourg Saint-Honoré, et surtout le Poitiers de l'entre-deux-guerres. La petite noblesse de campagne et les domestiques fidèles, les vieux beaux fortunés, et les jeunes filles délaissées, y jouent de leur pouvoir de domination sur les plus faibles qu'eux, lesquels, à leur tour, savent fort bien, par leurs charmes secrets, se protéger et se défendre.
Mais, derrière ces liaisons dangereuses, se profilent parfois de sombres desseins.