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Marianne Noujaim

Dernière sortie
Le Théâtre de Michel Vinaver
La poétique dramatique de Michel Vinaver est abordée dans
cette étude à la lumière des manifestations microstructurales
du dialogisme et de la polyphonie. En effet, le dialogue
vinavérien est à l'écoute des voix infimes de l'ordinaire, voix
fondues dans des formes dérangeant l'ordre sous-jacent à la
banalité du quotidien. Dans les pièces "symphoniques" de
l'auteur, cet ordre se fait jour dans les cadres de l'entreprise et
de la société de consommation ou gît au coeur de l'articulation
entre l'espace privé des personnages et le champ politique
agonistique.
Pour circonscrire les aspects du dialogisme et de la polyphonie, sont convoqués des concepts empruntés aussi bien aux branches de la linguistique énonciative et pragmatique qu'à l'ancienne et à la nouvelle rhétorique. L'esthétique et la réflexion de l'auteur sur les fonctions du théâtre aujourd'hui et sur ses rapports au réel semblent intimement liées au caractère dialogique du discours des personnages traversé par l'hétérogénéité énonciative, la stéréotypie, le clichage, les sentences et les lieux communs.
Sur le plan polyphonique, l'écriture vinavérienne tire parti des techniques du montage, de la choralité, de l'intertextualité et de la correspondance des arts, formes qui produisent des décharges ironiques et esthétiques porteuses de signifiances préservant l'ouverture de l'oeuvre.
Pour circonscrire les aspects du dialogisme et de la polyphonie, sont convoqués des concepts empruntés aussi bien aux branches de la linguistique énonciative et pragmatique qu'à l'ancienne et à la nouvelle rhétorique. L'esthétique et la réflexion de l'auteur sur les fonctions du théâtre aujourd'hui et sur ses rapports au réel semblent intimement liées au caractère dialogique du discours des personnages traversé par l'hétérogénéité énonciative, la stéréotypie, le clichage, les sentences et les lieux communs.
Sur le plan polyphonique, l'écriture vinavérienne tire parti des techniques du montage, de la choralité, de l'intertextualité et de la correspondance des arts, formes qui produisent des décharges ironiques et esthétiques porteuses de signifiances préservant l'ouverture de l'oeuvre.
La poétique dramatique de Michel Vinaver est abordée dans
cette étude à la lumière des manifestations microstructurales
du dialogisme et de la polyphonie. En effet, le dialogue
vinavérien est à l'écoute des voix infimes de l'ordinaire, voix
fondues dans des formes dérangeant l'ordre sous-jacent à la
banalité du quotidien. Dans les pièces "symphoniques" de
l'auteur, cet ordre se fait jour dans les cadres de l'entreprise et
de la société de consommation ou gît au coeur de l'articulation
entre l'espace privé des personnages et le champ politique
agonistique.
Pour circonscrire les aspects du dialogisme et de la polyphonie, sont convoqués des concepts empruntés aussi bien aux branches de la linguistique énonciative et pragmatique qu'à l'ancienne et à la nouvelle rhétorique. L'esthétique et la réflexion de l'auteur sur les fonctions du théâtre aujourd'hui et sur ses rapports au réel semblent intimement liées au caractère dialogique du discours des personnages traversé par l'hétérogénéité énonciative, la stéréotypie, le clichage, les sentences et les lieux communs.
Sur le plan polyphonique, l'écriture vinavérienne tire parti des techniques du montage, de la choralité, de l'intertextualité et de la correspondance des arts, formes qui produisent des décharges ironiques et esthétiques porteuses de signifiances préservant l'ouverture de l'oeuvre.
Pour circonscrire les aspects du dialogisme et de la polyphonie, sont convoqués des concepts empruntés aussi bien aux branches de la linguistique énonciative et pragmatique qu'à l'ancienne et à la nouvelle rhétorique. L'esthétique et la réflexion de l'auteur sur les fonctions du théâtre aujourd'hui et sur ses rapports au réel semblent intimement liées au caractère dialogique du discours des personnages traversé par l'hétérogénéité énonciative, la stéréotypie, le clichage, les sentences et les lieux communs.
Sur le plan polyphonique, l'écriture vinavérienne tire parti des techniques du montage, de la choralité, de l'intertextualité et de la correspondance des arts, formes qui produisent des décharges ironiques et esthétiques porteuses de signifiances préservant l'ouverture de l'oeuvre.
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