Née à Alger le 3 Janvier 1941, Jacqueline Colde a été professeur d'espagnol et a vécu entre Paris et la Provence avant de s'installer à Marseille (Bouches du Rhône) en 1997; elle y est décédée en 2018. S'intéressant à la photographie, elle a commencé dès 1975 à suivre des stages aux Rencontres Internationales de la Photographie d'Arles. Durant plus de dix ans, elle participera à ces stages avec Ralph Gibson, Eva Rubinstein, Charles Harbutt, Guy Le Querrec, Jean Mohr, Pedro Meyer et Alicia d'Amico, Robert Pledge, Marc Garanger, ainsi qu'à celui du magazine Geo. De 1984 à 1995 elle s'est consacrée entièrement à la photographie documentaire, s'intéressant particulièrement à l'Amérique latine et au thème du déracinement. Elle a ainsi travaillé sur des ouvriers du pétrole dans le Golfe du Mexique, puis plus longuement sur trois communautés françaises (barcelonnettes de la vallée de l'Ubaye, aveyronais de l'Aubrac, francs-comtois de Champlitte), émigrées au Mexique (principalement à Mexico et San Rafael) et en Argentine (Pigüe). Elle a par la suite fait des photographies à Marseille, principalement de danseurs de tango.
Née à Alger le 3 Janvier 1941, Jacqueline Colde a été professeur d'espagnol et a vécu entre Paris et la Provence avant de s'installer à Marseille (Bouches du Rhône) en 1997; elle y est décédée en 2018. S'intéressant à la photographie, elle a commencé dès 1975 à suivre des stages aux Rencontres Internationales de la Photographie d'Arles. Durant plus de dix ans, elle participera à ces stages avec Ralph Gibson, Eva Rubinstein, Charles Harbutt, Guy Le Querrec, Jean Mohr, Pedro Meyer et Alicia d'Amico, Robert Pledge, Marc Garanger, ainsi qu'à celui du magazine Geo. De 1984 à 1995 elle s'est consacrée entièrement à la photographie documentaire, s'intéressant particulièrement à l'Amérique latine et au thème du déracinement. Elle a ainsi travaillé sur des ouvriers du pétrole dans le Golfe du Mexique, puis plus longuement sur trois communautés françaises (barcelonnettes de la vallée de l'Ubaye, aveyronais de l'Aubrac, francs-comtois de Champlitte), émigrées au Mexique (principalement à Mexico et San Rafael) et en Argentine (Pigüe). Elle a par la suite fait des photographies à Marseille, principalement de danseurs de tango.