Tout en poursuivant son questionnement sur comment appartenir au monde, Martine Audet entreprend une sorte de dialogue avec ses rêves afin de capter, parmi les heures et leurs écarts, les étonnements sombres ou lumineux de l'être. Objets de présence, parfois mouvements de détachement, les poèmes, dans À toute heure, deviennent ainsi une mise en volée des mémoires qui, retournant ombres et pierres, révèle et libère.
Si les dessins dans son précédent recueil, Des formes utiles, étaient au plomb, la poète laisse ici vibrer la couleur au cour du livre et de l'instant. Le mot et le trait : un même battement.
Tout en poursuivant son questionnement sur comment appartenir au monde, Martine Audet entreprend une sorte de dialogue avec ses rêves afin de capter, parmi les heures et leurs écarts, les étonnements sombres ou lumineux de l'être. Objets de présence, parfois mouvements de détachement, les poèmes, dans À toute heure, deviennent ainsi une mise en volée des mémoires qui, retournant ombres et pierres, révèle et libère.
Si les dessins dans son précédent recueil, Des formes utiles, étaient au plomb, la poète laisse ici vibrer la couleur au cour du livre et de l'instant. Le mot et le trait : un même battement.