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Stefano Magni

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Crimes « Excellents » du Moyen Âge au XIXe siècle
Entre histoire, littérature et arts, Italies n° 29 explore les grands crimes du passé ainsi que la transformation du crime en mythe culturel et politique. Le crime, loin de n'être qu'un fait judiciaire, constitue un prisme à travers lequel chaque époque relit son passé et interroge ses valeurs. Le numéro ? 29 d'Italies, consacré aux crimes excellents, prolonge la réflexion engagée dans le numéro ? 28, qui portait sur les crimes du XXe ? siècle et coïncidait avec le centenaire de l'assassinat de Giacomo Matteotti.
Ce nouveau volume élargit la perspective en s'intéressant aux crimes des siècles passés et à leurs réinterprétations successives. A travers 19 articles, ce numéro analyse des crimes connus ou méconnus, du Moyen Age au XIXe ? siècle, dévoilant de nombreuses pages inconnues de l'histoire italienne. De l'assassinat d'Alessandro de' Medici au Synode du Cadavre, de Catilina à Savonarola, les auteurs interrogent les processus de transmission et de réécriture du crime dans le temps.
Ils mettent en lumière la manière dont les discours judiciaires, les chroniques historiques, la littérature et les arts transforment l'événement brut en mythe ou en symbole. Les études rassemblées ici adoptent une approche interdisciplinaire, croisant histoire, littérature, arts visuels et musique pour analyser la construction culturelle du crime et son évolution dans la conscience collective. Comprendre ces dynamiques permet de saisir comment la criminalité, bien au-delà de sa seule dimension légale, façonne les imaginaires et les représentations du pouvoir et de la transgression.
Ce nouveau volume élargit la perspective en s'intéressant aux crimes des siècles passés et à leurs réinterprétations successives. A travers 19 articles, ce numéro analyse des crimes connus ou méconnus, du Moyen Age au XIXe ? siècle, dévoilant de nombreuses pages inconnues de l'histoire italienne. De l'assassinat d'Alessandro de' Medici au Synode du Cadavre, de Catilina à Savonarola, les auteurs interrogent les processus de transmission et de réécriture du crime dans le temps.
Ils mettent en lumière la manière dont les discours judiciaires, les chroniques historiques, la littérature et les arts transforment l'événement brut en mythe ou en symbole. Les études rassemblées ici adoptent une approche interdisciplinaire, croisant histoire, littérature, arts visuels et musique pour analyser la construction culturelle du crime et son évolution dans la conscience collective. Comprendre ces dynamiques permet de saisir comment la criminalité, bien au-delà de sa seule dimension légale, façonne les imaginaires et les représentations du pouvoir et de la transgression.
Entre histoire, littérature et arts, Italies n° 29 explore les grands crimes du passé ainsi que la transformation du crime en mythe culturel et politique. Le crime, loin de n'être qu'un fait judiciaire, constitue un prisme à travers lequel chaque époque relit son passé et interroge ses valeurs. Le numéro ? 29 d'Italies, consacré aux crimes excellents, prolonge la réflexion engagée dans le numéro ? 28, qui portait sur les crimes du XXe ? siècle et coïncidait avec le centenaire de l'assassinat de Giacomo Matteotti.
Ce nouveau volume élargit la perspective en s'intéressant aux crimes des siècles passés et à leurs réinterprétations successives. A travers 19 articles, ce numéro analyse des crimes connus ou méconnus, du Moyen Age au XIXe ? siècle, dévoilant de nombreuses pages inconnues de l'histoire italienne. De l'assassinat d'Alessandro de' Medici au Synode du Cadavre, de Catilina à Savonarola, les auteurs interrogent les processus de transmission et de réécriture du crime dans le temps.
Ils mettent en lumière la manière dont les discours judiciaires, les chroniques historiques, la littérature et les arts transforment l'événement brut en mythe ou en symbole. Les études rassemblées ici adoptent une approche interdisciplinaire, croisant histoire, littérature, arts visuels et musique pour analyser la construction culturelle du crime et son évolution dans la conscience collective. Comprendre ces dynamiques permet de saisir comment la criminalité, bien au-delà de sa seule dimension légale, façonne les imaginaires et les représentations du pouvoir et de la transgression.
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Ils mettent en lumière la manière dont les discours judiciaires, les chroniques historiques, la littérature et les arts transforment l'événement brut en mythe ou en symbole. Les études rassemblées ici adoptent une approche interdisciplinaire, croisant histoire, littérature, arts visuels et musique pour analyser la construction culturelle du crime et son évolution dans la conscience collective. Comprendre ces dynamiques permet de saisir comment la criminalité, bien au-delà de sa seule dimension légale, façonne les imaginaires et les représentations du pouvoir et de la transgression.
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