Après une courte période où l'humanité a pu croire en la fin de l'histoire et en son progrès moral, la violence extrême a réapparu : massacres de masse, génocides, crimes contre l'humanité, crimes de guerre, féminicides, assassinats... Partout, les digues ont sauté - au point d'ébranler l'idée même d'humanité, dont le visage se fragmente chaque jour davantage. En auscultant sans complaisance notre époque sanguinaire, François Rachline démonte les mécanismes de la déshumanisation, de la confusion entre racines et identité, du vacillement de nos valeurs universalistes, pour mettre à jour une vérité troublante : nous portons tous en nous la capacité du pire.
Une question s'impose : et si l'inhumanité était constitutive de l'être humain ? Dès lors, devant l'absence manifeste de remède face à la barbarie, faut-il désespérer de nous-mêmes ? Un essai qui, en refusant les facilités moralisatrices, frappe juste et fort - et nous invite à regarder en face ce que nous sommes vraiment. Car c'est peut-être dans cette lucidité que réside notre dernière chance de rester humains.
Après une courte période où l'humanité a pu croire en la fin de l'histoire et en son progrès moral, la violence extrême a réapparu : massacres de masse, génocides, crimes contre l'humanité, crimes de guerre, féminicides, assassinats... Partout, les digues ont sauté - au point d'ébranler l'idée même d'humanité, dont le visage se fragmente chaque jour davantage. En auscultant sans complaisance notre époque sanguinaire, François Rachline démonte les mécanismes de la déshumanisation, de la confusion entre racines et identité, du vacillement de nos valeurs universalistes, pour mettre à jour une vérité troublante : nous portons tous en nous la capacité du pire.
Une question s'impose : et si l'inhumanité était constitutive de l'être humain ? Dès lors, devant l'absence manifeste de remède face à la barbarie, faut-il désespérer de nous-mêmes ? Un essai qui, en refusant les facilités moralisatrices, frappe juste et fort - et nous invite à regarder en face ce que nous sommes vraiment. Car c'est peut-être dans cette lucidité que réside notre dernière chance de rester humains.