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Robert Schad
D'origine allemande, Robert Schad (né en 1953 à Ravensburg) vit et travaille depuis 1994 dans le petit village de Larians et Munans en Haute-Saône. Ses sculptures, installées in situ, semblent jaillir du sol, telles des champignons géants, elle sont comme reliées entre elles par un mycélium imaginaire. On a la sensation qu'elles sont nées et se sont développées sur place. Tels les danseurs d'une chorégraphie sculpturale, elles sont d'une incroyable légèreté, en dépit de leur poids. Ces sculptures, faites du même matériau utilisé pour les machines et les armes, sont loin d'être rigides, elles sont d'une souplesse et d'une pureté aériennes, animées d'une formidable énergie intérieure. Leurs segments droits sont articulés, tels des membres humains en mouvement. Et comme par magie, ce mouvement semble soudain s'arrêter, précisément au moment où le spectateur s'y arrête et y pose son regard. Robert Schad s'adresse à un large public. Chacun a la possibilité d'y poser son propre regard. Les sculptures ne font référence qu'à elles-mêmes. Elles sont le résultat d'une expérience sensuelle qui accompagne le spectateur et stimule la réflexion. La création de leurs différentes formes ne vient pas d'un calcul sculptural : elles sont libres et tridimensionnelles, en interaction avec des lignes tout aussi libres et spatiales. Cette expérience physique et psychologique, cette créativité d'une totale liberté, permet aux sculptures de prendre racine.
D'origine allemande, Robert Schad (né en 1953 à Ravensburg) vit et travaille depuis 1994 dans le petit village de Larians et Munans en Haute-Saône. Ses sculptures, installées in situ, semblent jaillir du sol, telles des champignons géants, elle sont comme reliées entre elles par un mycélium imaginaire. On a la sensation qu'elles sont nées et se sont développées sur place. Tels les danseurs d'une chorégraphie sculpturale, elles sont d'une incroyable légèreté, en dépit de leur poids. Ces sculptures, faites du même matériau utilisé pour les machines et les armes, sont loin d'être rigides, elles sont d'une souplesse et d'une pureté aériennes, animées d'une formidable énergie intérieure. Leurs segments droits sont articulés, tels des membres humains en mouvement. Et comme par magie, ce mouvement semble soudain s'arrêter, précisément au moment où le spectateur s'y arrête et y pose son regard. Robert Schad s'adresse à un large public. Chacun a la possibilité d'y poser son propre regard. Les sculptures ne font référence qu'à elles-mêmes. Elles sont le résultat d'une expérience sensuelle qui accompagne le spectateur et stimule la réflexion. La création de leurs différentes formes ne vient pas d'un calcul sculptural : elles sont libres et tridimensionnelles, en interaction avec des lignes tout aussi libres et spatiales. Cette expérience physique et psychologique, cette créativité d'une totale liberté, permet aux sculptures de prendre racine.

Dernière sortie
Die Spur
C'est à Freiburg, où Robert Schad, né à Ravensburg, en Haute-Souabe, a longtemps eu son atelier avant de s'établir à Larians, dans le département de la Haute-Saône, et à AChamosinhos, dans le Nord du Portugal, que se trouve sa dernière oeuvre conçue en 2018 et réalisée en 2021. LA TRACE (DIE SPUR) est le résultat d'un concours d'art intégré à l'architecture pour le nouveau bâtiment de l'Institut de Amodélisation des maladies et de médecine ciblée (Institute for Disease Modeling and Targeted Medicine/ IMITATE), un centre de recherches en génétique de la clinique universitaire de la ville.
Une quarantaine de morceaux d'acier sont assemblés du côté rue du bâtiment en une composition horizontale de 15 x 27 x 7 mètres qui dessine dans l'espace une ligne sinueuse au rythme libre et produit, en dépit de sa taille et de son poids, du manque de flexibilité et de la nature anguleuse du matériau de Adépart, des impressions divergentes - de la nature végétale à la décharge d'éclair ou radio, en passant par une danse d'expression sculpturale.
LA TRACE s'adresse à l'être humain dans son ensemble, à nos sens et à notre conscience, inséparable de notre vécu intériorisé de l'histoire, de l'art et du corps. Avec ce nouveau travail à Freiburg, Robert Schad a une fois de plus créé une oeuvre qui équilibre dans une hiérarchie parfaitement maîtrisée forme, contenu et teneur et les met en scène avec brio. L'ouvrage richement illustré aux nombreuses vues de détails, plans et dossiers du projet, renseigne sur le processus complet, de la création de la sculpture à son montage final.
Une quarantaine de morceaux d'acier sont assemblés du côté rue du bâtiment en une composition horizontale de 15 x 27 x 7 mètres qui dessine dans l'espace une ligne sinueuse au rythme libre et produit, en dépit de sa taille et de son poids, du manque de flexibilité et de la nature anguleuse du matériau de Adépart, des impressions divergentes - de la nature végétale à la décharge d'éclair ou radio, en passant par une danse d'expression sculpturale.
LA TRACE s'adresse à l'être humain dans son ensemble, à nos sens et à notre conscience, inséparable de notre vécu intériorisé de l'histoire, de l'art et du corps. Avec ce nouveau travail à Freiburg, Robert Schad a une fois de plus créé une oeuvre qui équilibre dans une hiérarchie parfaitement maîtrisée forme, contenu et teneur et les met en scène avec brio. L'ouvrage richement illustré aux nombreuses vues de détails, plans et dossiers du projet, renseigne sur le processus complet, de la création de la sculpture à son montage final.
C'est à Freiburg, où Robert Schad, né à Ravensburg, en Haute-Souabe, a longtemps eu son atelier avant de s'établir à Larians, dans le département de la Haute-Saône, et à AChamosinhos, dans le Nord du Portugal, que se trouve sa dernière oeuvre conçue en 2018 et réalisée en 2021. LA TRACE (DIE SPUR) est le résultat d'un concours d'art intégré à l'architecture pour le nouveau bâtiment de l'Institut de Amodélisation des maladies et de médecine ciblée (Institute for Disease Modeling and Targeted Medicine/ IMITATE), un centre de recherches en génétique de la clinique universitaire de la ville.
Une quarantaine de morceaux d'acier sont assemblés du côté rue du bâtiment en une composition horizontale de 15 x 27 x 7 mètres qui dessine dans l'espace une ligne sinueuse au rythme libre et produit, en dépit de sa taille et de son poids, du manque de flexibilité et de la nature anguleuse du matériau de Adépart, des impressions divergentes - de la nature végétale à la décharge d'éclair ou radio, en passant par une danse d'expression sculpturale.
LA TRACE s'adresse à l'être humain dans son ensemble, à nos sens et à notre conscience, inséparable de notre vécu intériorisé de l'histoire, de l'art et du corps. Avec ce nouveau travail à Freiburg, Robert Schad a une fois de plus créé une oeuvre qui équilibre dans une hiérarchie parfaitement maîtrisée forme, contenu et teneur et les met en scène avec brio. L'ouvrage richement illustré aux nombreuses vues de détails, plans et dossiers du projet, renseigne sur le processus complet, de la création de la sculpture à son montage final.
Une quarantaine de morceaux d'acier sont assemblés du côté rue du bâtiment en une composition horizontale de 15 x 27 x 7 mètres qui dessine dans l'espace une ligne sinueuse au rythme libre et produit, en dépit de sa taille et de son poids, du manque de flexibilité et de la nature anguleuse du matériau de Adépart, des impressions divergentes - de la nature végétale à la décharge d'éclair ou radio, en passant par une danse d'expression sculpturale.
LA TRACE s'adresse à l'être humain dans son ensemble, à nos sens et à notre conscience, inséparable de notre vécu intériorisé de l'histoire, de l'art et du corps. Avec ce nouveau travail à Freiburg, Robert Schad a une fois de plus créé une oeuvre qui équilibre dans une hiérarchie parfaitement maîtrisée forme, contenu et teneur et les met en scène avec brio. L'ouvrage richement illustré aux nombreuses vues de détails, plans et dossiers du projet, renseigne sur le processus complet, de la création de la sculpture à son montage final.
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