" Jamais ma fille ne m'a donné raison de me plaindre, car dès le plus jeune âge elle rayonnait de paix. " C'est Dona Mercédès qui s'exprime ainsi, et ces quelques mots résument bien ce que fut la courte vie de Laura Vicuna, morte à douze ans et demi de la tuberculose. Entrée avec sa soeur au collège des Filles de Marie-Auxiliatrice de Junin, en Argentine, elle se fait remarquer par son sérieux, bien au-dessus de son âge, par sa fidélité au devoir de chaque jour et par sa piété exemplaire, mais sans aucun étalage ni exagération.
Demandant à Dieu de lui accorder " une vie d'amour, de mortification et de sacrifice ", elle décide, le jour de sa première communion, de se donner totalement à Lui, corps et âme. Quand elle découvre que sa mère, pour subvenir à leurs besoins, vit en compagnie de son employeur, elle s'offre en holocauste pour la conversion de celle-ci. Elle ira aussi jusqu'à défendre sa pureté contre l'amant de sa mère.
" Jamais ma fille ne m'a donné raison de me plaindre, car dès le plus jeune âge elle rayonnait de paix. " C'est Dona Mercédès qui s'exprime ainsi, et ces quelques mots résument bien ce que fut la courte vie de Laura Vicuna, morte à douze ans et demi de la tuberculose. Entrée avec sa soeur au collège des Filles de Marie-Auxiliatrice de Junin, en Argentine, elle se fait remarquer par son sérieux, bien au-dessus de son âge, par sa fidélité au devoir de chaque jour et par sa piété exemplaire, mais sans aucun étalage ni exagération.
Demandant à Dieu de lui accorder " une vie d'amour, de mortification et de sacrifice ", elle décide, le jour de sa première communion, de se donner totalement à Lui, corps et âme. Quand elle découvre que sa mère, pour subvenir à leurs besoins, vit en compagnie de son employeur, elle s'offre en holocauste pour la conversion de celle-ci. Elle ira aussi jusqu'à défendre sa pureté contre l'amant de sa mère.