Droit dans les yeux :
" la belle trouvaille de "La grande librairie' qui prend aux tripes " (
Télérama
),
" le pari est plus que réussi. " (
Le Monde
)
Lorsque, succédant à François Busnel, Augustin Trapenard prend les rênes de " La grande librairie " sur France 5, il décide d'y ajouter une touche de nouveauté : une séquence finale dans laquelle un auteur lit, face caméra, un texte qu'il a rédigé spécialement pour l'émission.
Qu'il s'attache à l'actualité ou qu'il questionne le rôle de la littérature, ce texte de deux minutes environ offre une tribune libre, déroulant une parole inédite, souvent pudique et toujours profonde. " Droit dans les yeux " ouvre une parenthèse inattendue dans le temps médiatique.
Très vite, cette adresse au spectateur s'impose non seulement comme la signature de l'émission mais cartonne en ligne sur Facebook, Instagram et TikTok.
Loin de l'écran télé, un autre public s'empare de ces pastilles vidéo afin de les citer et de les partager. Il en va ainsi de l'" éloge de la nuance " de Maria Pourchet qui recueille des milliers de commentaires, des textes fiévreux de Panayotis Pascot ou de Salomé Saqué qui cumulent chacun des millions de vues. Il en va ainsi des mots simples de Nicolas Mathieu - " Tu n'as qu'une vie, défends-la " - devenus un mot d'ordre viral qu'on a même retrouvé tagués sur les murs du métro.
Si les auteurs français sont séduits par l'exercice, les grands écrivains étrangers comme Salman Rushdie, Colum McCann ou Siri Hustvedt se prêtent au jeu avec enthousiasme. Primo-romanciers, écrivains pour la jeunesse, bédéistes, auteurs de polars et de science-fiction, philosophes, historiens, scénaristes, poètes et prix Nobel de littérature... Ensemble, ils livrent ici une brillante démonstration de leur talent et montrent que leur contribution au débat est, dans la société actuelle, devenue parfaitement essentielle.
Droit dans les yeux :
" la belle trouvaille de "La grande librairie' qui prend aux tripes " (
Télérama
),
" le pari est plus que réussi. " (
Le Monde
)
Lorsque, succédant à François Busnel, Augustin Trapenard prend les rênes de " La grande librairie " sur France 5, il décide d'y ajouter une touche de nouveauté : une séquence finale dans laquelle un auteur lit, face caméra, un texte qu'il a rédigé spécialement pour l'émission.
Qu'il s'attache à l'actualité ou qu'il questionne le rôle de la littérature, ce texte de deux minutes environ offre une tribune libre, déroulant une parole inédite, souvent pudique et toujours profonde. " Droit dans les yeux " ouvre une parenthèse inattendue dans le temps médiatique.
Très vite, cette adresse au spectateur s'impose non seulement comme la signature de l'émission mais cartonne en ligne sur Facebook, Instagram et TikTok.
Loin de l'écran télé, un autre public s'empare de ces pastilles vidéo afin de les citer et de les partager. Il en va ainsi de l'" éloge de la nuance " de Maria Pourchet qui recueille des milliers de commentaires, des textes fiévreux de Panayotis Pascot ou de Salomé Saqué qui cumulent chacun des millions de vues. Il en va ainsi des mots simples de Nicolas Mathieu - " Tu n'as qu'une vie, défends-la " - devenus un mot d'ordre viral qu'on a même retrouvé tagués sur les murs du métro.
Si les auteurs français sont séduits par l'exercice, les grands écrivains étrangers comme Salman Rushdie, Colum McCann ou Siri Hustvedt se prêtent au jeu avec enthousiasme. Primo-romanciers, écrivains pour la jeunesse, bédéistes, auteurs de polars et de science-fiction, philosophes, historiens, scénaristes, poètes et prix Nobel de littérature... Ensemble, ils livrent ici une brillante démonstration de leur talent et montrent que leur contribution au débat est, dans la société actuelle, devenue parfaitement essentielle.