Dernière sortie
L'AJA toujours là
Dernière après trois matches au mois d'août, l'AJA a amorcé une incroyable remontée malgré le scepticisme ambiant. A force de travail, d'application, de solidarité et d'enthousiasme - des valeurs qui se sont avérées essentielles à ce redressement - l'équipe de Jean Fernandez est montée en puissance au point de jouer les trouble-fête, si bien que le 21 novembre, peu après 22h45, Monsieur Chapron, l'arbitre du match Auxerre/Monaco sifflait la fin de la rencontre sous un concert d'applaudissements. Non ! Les spectateurs du Stade Abbé Deschamps ne rêvaient pas ! L'AJA était bel et bien " leader " de la Ligue 1, devant Bordeaux et Lyon. Il fallait remonter à la saison 2002/2003 pour trouver trace d'une telle position. Forcément, dans les jours qui suivirent, les projecteurs médiatiques furent braqués sur Auxerre mais chacun, au coeur du club, savourait ces instants avec modestie et humilité, même si une légitime fierté saupoudrait ces sentiments. Cette première place venait d'être acquise après une surprenante série de 7 victoires consécutives... Un peu plus tard, à la trêve, on constatait que l'AJA avait fait chuter les meilleures équipes du moment : Bordeaux, champion de France en titre, mais aussi Lille, Montpellier et Marseille (au Stade Vélodrome), les quatre premières équipes du championnat de France. A partir de ce moment, nombre d'entraîneurs et de journalistes ont estimé que ce parcours ne pourrait pas se poursuivre sur le même rythme et que l'AJA rentrerait dans le rang. C'était sans compter sur l'obstination des Auxerrois, plus unis que jamais... L'AJA finalement retrouve l'Europe de la plus belle des manières en terminant troisième, ce qui lui vaut sa qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Dernière après trois matches au mois d'août, l'AJA a amorcé une incroyable remontée malgré le scepticisme ambiant. A force de travail, d'application, de solidarité et d'enthousiasme - des valeurs qui se sont avérées essentielles à ce redressement - l'équipe de Jean Fernandez est montée en puissance au point de jouer les trouble-fête, si bien que le 21 novembre, peu après 22h45, Monsieur Chapron, l'arbitre du match Auxerre/Monaco sifflait la fin de la rencontre sous un concert d'applaudissements. Non ! Les spectateurs du Stade Abbé Deschamps ne rêvaient pas ! L'AJA était bel et bien " leader " de la Ligue 1, devant Bordeaux et Lyon. Il fallait remonter à la saison 2002/2003 pour trouver trace d'une telle position. Forcément, dans les jours qui suivirent, les projecteurs médiatiques furent braqués sur Auxerre mais chacun, au coeur du club, savourait ces instants avec modestie et humilité, même si une légitime fierté saupoudrait ces sentiments. Cette première place venait d'être acquise après une surprenante série de 7 victoires consécutives... Un peu plus tard, à la trêve, on constatait que l'AJA avait fait chuter les meilleures équipes du moment : Bordeaux, champion de France en titre, mais aussi Lille, Montpellier et Marseille (au Stade Vélodrome), les quatre premières équipes du championnat de France. A partir de ce moment, nombre d'entraîneurs et de journalistes ont estimé que ce parcours ne pourrait pas se poursuivre sur le même rythme et que l'AJA rentrerait dans le rang. C'était sans compter sur l'obstination des Auxerrois, plus unis que jamais... L'AJA finalement retrouve l'Europe de la plus belle des manières en terminant troisième, ce qui lui vaut sa qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions.
