Les jours passent, ne m'apportant aucun soulagement. L'été flambe, je brûle comme lui, le ciel est blanc de chaleur. Au seuil de cet après-midi torride, je voudrais tenter d'être raisonnable, sinon dans quel état me retrouvera-t-il ? J'ai vu dans la glace mon visage terne, amaigri, usé. Je me répète : je te hais mon adoré, expression exacte de l'insupportable vérité.
Les jours passent, ne m'apportant aucun soulagement. L'été flambe, je brûle comme lui, le ciel est blanc de chaleur. Au seuil de cet après-midi torride, je voudrais tenter d'être raisonnable, sinon dans quel état me retrouvera-t-il ? J'ai vu dans la glace mon visage terne, amaigri, usé. Je me répète : je te hais mon adoré, expression exacte de l'insupportable vérité.