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Laurent Verslype

Dernière sortie
Cherchez la petite bête
Chasse, péché, domestiqué, familier ou sauvage, l'animal est indispensable la survie de l'homme et se place naturellement au centre de l'économie des sociétés pré-industrielles. Vivant, l'animal est tout autant le pourvoyeur de ressources directes que, par sa force motrice, le complément indispensable aux activités agricoles, artisanales et commerciales. Mort, un large éventail d'activités, boucherie, tannerie, tabletterie le transforme et lui confère alors une seconde vie.
Par ailleurs, l'animal participe à l'affichage du statut social d'une personne, de son vivant comme dans sa mort, comme en témoignent la pratique de la chasse, la taille d'un cheptel ou encore les tombes de chevaux jouxtant des sépultures royales et aristocratiques. Mais la relation animal-homme ne se limite pas à une simple exploitation de l'un par l'autre et l'on ne saurait étudier les sociétés altomédiévales sans prendre en compte la part affective, symbolique, voire religieuse, de l'animal : ornementation sur les bijoux et les accessoires vestimentaires, dépôts alimentaires ou banquets funéraires.
Ce vaste champ imaginaire et spirituel recèle encore des pans à explorer. Ces dernières décennies, l'archéozoologie et les spécialités apparentées se sont révélées comme d'irremplaçables vecteurs de connaissance des modes alimentaires, des pratiques agro pastorales, des épizooties, mais aussi des contextes paléoenvironnementaux. De tels apports ne peuvent que modifier le regard du chercheur et l'amener à réfléchir sur les méthodes de fouille, de prélèvement, ainsi que sur les nouveaux champs d'étude à privilégier dans un avenir proche.
A poils, à pattes, à plumes, à écailles, du parasite au mammifère : les 37e journées internationales d'archéologie mérovingienne qui se sont tenues Saint-Dizier (Haute-Marne) du 6 au 16 octobre 2016, ont été l'occasion d'effectuer un bilan sur l'animal au haut Moyen Age. Une session a également été consacrée aux actualités altomédiévales dans le quart nord-est de la France.
Par ailleurs, l'animal participe à l'affichage du statut social d'une personne, de son vivant comme dans sa mort, comme en témoignent la pratique de la chasse, la taille d'un cheptel ou encore les tombes de chevaux jouxtant des sépultures royales et aristocratiques. Mais la relation animal-homme ne se limite pas à une simple exploitation de l'un par l'autre et l'on ne saurait étudier les sociétés altomédiévales sans prendre en compte la part affective, symbolique, voire religieuse, de l'animal : ornementation sur les bijoux et les accessoires vestimentaires, dépôts alimentaires ou banquets funéraires.
Ce vaste champ imaginaire et spirituel recèle encore des pans à explorer. Ces dernières décennies, l'archéozoologie et les spécialités apparentées se sont révélées comme d'irremplaçables vecteurs de connaissance des modes alimentaires, des pratiques agro pastorales, des épizooties, mais aussi des contextes paléoenvironnementaux. De tels apports ne peuvent que modifier le regard du chercheur et l'amener à réfléchir sur les méthodes de fouille, de prélèvement, ainsi que sur les nouveaux champs d'étude à privilégier dans un avenir proche.
A poils, à pattes, à plumes, à écailles, du parasite au mammifère : les 37e journées internationales d'archéologie mérovingienne qui se sont tenues Saint-Dizier (Haute-Marne) du 6 au 16 octobre 2016, ont été l'occasion d'effectuer un bilan sur l'animal au haut Moyen Age. Une session a également été consacrée aux actualités altomédiévales dans le quart nord-est de la France.
Chasse, péché, domestiqué, familier ou sauvage, l'animal est indispensable la survie de l'homme et se place naturellement au centre de l'économie des sociétés pré-industrielles. Vivant, l'animal est tout autant le pourvoyeur de ressources directes que, par sa force motrice, le complément indispensable aux activités agricoles, artisanales et commerciales. Mort, un large éventail d'activités, boucherie, tannerie, tabletterie le transforme et lui confère alors une seconde vie.
Par ailleurs, l'animal participe à l'affichage du statut social d'une personne, de son vivant comme dans sa mort, comme en témoignent la pratique de la chasse, la taille d'un cheptel ou encore les tombes de chevaux jouxtant des sépultures royales et aristocratiques. Mais la relation animal-homme ne se limite pas à une simple exploitation de l'un par l'autre et l'on ne saurait étudier les sociétés altomédiévales sans prendre en compte la part affective, symbolique, voire religieuse, de l'animal : ornementation sur les bijoux et les accessoires vestimentaires, dépôts alimentaires ou banquets funéraires.
Ce vaste champ imaginaire et spirituel recèle encore des pans à explorer. Ces dernières décennies, l'archéozoologie et les spécialités apparentées se sont révélées comme d'irremplaçables vecteurs de connaissance des modes alimentaires, des pratiques agro pastorales, des épizooties, mais aussi des contextes paléoenvironnementaux. De tels apports ne peuvent que modifier le regard du chercheur et l'amener à réfléchir sur les méthodes de fouille, de prélèvement, ainsi que sur les nouveaux champs d'étude à privilégier dans un avenir proche.
A poils, à pattes, à plumes, à écailles, du parasite au mammifère : les 37e journées internationales d'archéologie mérovingienne qui se sont tenues Saint-Dizier (Haute-Marne) du 6 au 16 octobre 2016, ont été l'occasion d'effectuer un bilan sur l'animal au haut Moyen Age. Une session a également été consacrée aux actualités altomédiévales dans le quart nord-est de la France.
Par ailleurs, l'animal participe à l'affichage du statut social d'une personne, de son vivant comme dans sa mort, comme en témoignent la pratique de la chasse, la taille d'un cheptel ou encore les tombes de chevaux jouxtant des sépultures royales et aristocratiques. Mais la relation animal-homme ne se limite pas à une simple exploitation de l'un par l'autre et l'on ne saurait étudier les sociétés altomédiévales sans prendre en compte la part affective, symbolique, voire religieuse, de l'animal : ornementation sur les bijoux et les accessoires vestimentaires, dépôts alimentaires ou banquets funéraires.
Ce vaste champ imaginaire et spirituel recèle encore des pans à explorer. Ces dernières décennies, l'archéozoologie et les spécialités apparentées se sont révélées comme d'irremplaçables vecteurs de connaissance des modes alimentaires, des pratiques agro pastorales, des épizooties, mais aussi des contextes paléoenvironnementaux. De tels apports ne peuvent que modifier le regard du chercheur et l'amener à réfléchir sur les méthodes de fouille, de prélèvement, ainsi que sur les nouveaux champs d'étude à privilégier dans un avenir proche.
A poils, à pattes, à plumes, à écailles, du parasite au mammifère : les 37e journées internationales d'archéologie mérovingienne qui se sont tenues Saint-Dizier (Haute-Marne) du 6 au 16 octobre 2016, ont été l'occasion d'effectuer un bilan sur l'animal au haut Moyen Age. Une session a également été consacrée aux actualités altomédiévales dans le quart nord-est de la France.
Les livres de Laurent Verslype

Cherchez la petite bête. L’animal au haut Moyen Age - Actes des 37e Journées internationales d'archéologie mérovingienne Saint-Dizier (Haute-Marne) 5-8 octobre 2016
Stéphanie Desbrosse-Degobertière
Grand Format
36,00 €

Les cultures des littoraux au haut Moyen Age. Cadres et modes de vie dans l'espace maritime Manche-mer du Nord du IIIe au Xe siècle
Inès Leroy, Laurent Verslype
Grand Format
45,00 €

Villes et campagnes en Neustrie. Sociétés, économies, territoires, christianisation
Laurent Verslype
Grand Format
48,00 €

De Gallia. Raymond Brulet, historien, archéologue, gestionnaire et pédagogue
Laurent Verslype, Fabienne Vilvorder
19,00 €